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    Les psychologues ne sont jamais médecins.

      

      

      

    Ce sont les psychiatres qui sont médecins.

      

    C'est toute la différence entre un psychologue et un psychiatre.

      

    Les deux professions sont réglementées :


    - Est psychiatre celui qui a complété sa formation de médecine avec spécialité psychiatrie. Le psychiatre est un médecin spécialiste.

     

      En tant que médecin, notamment, il a la possibilité de prescrire des médicaments à ses patients (somnifères, antidépresseurs, anxiolytiques, etc.)

     


    - Est psychologue celui qui a obtenu un Master (ou DESS/DEA) en psychologie.

      Il n'est pas médecin mais titulaire d'un master en sciences humaines.

     

     

    Il ne peut pas prescrire de médicaments.

     

    Il a la possibilité, en revanche, d'accéder à certains outils qui lui sont réservés (interdits aux psychiatres) comme de nombreux tests psychométriques (notamment projectifs).



    - Par ailleurs, est psychanalyste celui qui a effectué une psychanalyse (on parle de psychanalyse initiatique) auprès d'un psychanalyste.

      

    Oui c'est un peu léger comme formation, mais le lobby est puissant et il était hors de question d'y toucher.

     

     


    - Enfin, autrefois, était psychothérapeute qui voulait.

      

    LE PsychoTHÉRAPEUTE : ce n'est pas psychoLOGUE.

      

    Ce n'est pas non-plus psychIATRE. C'est psychoTHÉRAPEUTE.

      

    C'est à dire que jusqu'à maintenant, tu avais le droit de te faire poser une jolie plaque devant chez toi "Duchemoll psychothérapeute" et personne ne pouvait te demander de comptes.



    Ce que dit le JO, c'est que ce temps là est enfin terminé.

      

    Désormais, pour se dire "psychothérapeute" il faudra avoir suivi une formation digne de ce nom.

      

    C'est quand-même la moindre des choses. Je ne sais pas si tu as lu l'article de loi que tu cites :

      
    L'accès à cette formation est réservé aux titulaires d'un diplôme de niveau doctorat donnant le droit d'exercer la médecine en France ou d'un diplôme de niveau master dont la spécialité ou la mention est la psychologie ou la psychanalyse.



    Depuis quand un master en psycho rend médecin ?



    Cette loi ne change rien à la situation des psychiatres, des psychologues, ni des psychanalystes.

      

    Mais exclusivement à celle des psychothérapeutes



    Le gros problème de cette loi, c'est qu'elle a pas eu les couilles de s'attaquer à la charlatanerie de la psychanalyse, avec des gens qui surfent sur la crédulité des clients, leur incapacité à distinguer les "psy" les uns des autres (comme tu viens de le prouver), pour se faire passer pour des guérisseurs compétents alors que leur seule formation consiste à avoir été psychanalysé...

      

    un peu comme si avoir été opéré de l'appendicite donnait droit au titre de chirurgien...

     


    Je me rappelle encore du passage d'Onfray chez Ruquier qui détaillait le caractère charlatanique de la psychanalyse et, quand il disait qu'une psychanalyse coûte la peau des fesses, Ruquier l'interrompait à chaque fois pour dire :

      

    "c'est pas vrai ! on a des psys qui travaillent même gratuitement ! on a vu des psys dans telle ou telle occasion bosser gratuitement ! ya des centres avec des psys blabla" : des psys des psys des psys.

     

      

    Des psy-quoi ?

    Comme si psychanalyste c'était la même chose que psychologue.

      

    Oui il y a des psychologues et des psychiatres qui travaillent gratuitement (ils sont salariés de l'État - mais tu paies ta consultation ! ) dans les centres médico-psychologiques.

      

    Oui quand il y a un traumatisme dans une école on envoie des psychologues qui prennent en charge les enfants sans les faire raquer.

      

    Des psychologues, pas des psychanalystes. Ce n'est PAS la même chose.



    Au final, on met fin à l'arnaque des psychothérapeutes en leur demandant, grosso-merdo, d'être psychiatres ou psychologues, mais les psychanalystes, eux, pourront continuer à exercer sans aucune formation (parce qu'à la rigueur, y a pas de diplôme de "j'ai fait ma psychanalyse" et ça coûte rien de prétendre l'avoir faite), surfant sur la vague "psy" pour se vendre au gogo.

      

    Les charlatans psychothérapeutes vont se renommer charlatans psychanalystes, et arnaqueront le gogo pareil qu'hier, le gogo ne faisant aucune différence, pour lui, un psy est un psy.




    Enfin : il n'existe qu'un seul type de psychologue, c'est le psychologue.

      

    C'est à dire celui qui a un MASTER/DEA/DESS en psychologie.

      

    Les autres sont des psy-quelquechose, mais pas des psychologues.

      

    Cf la classification que j'ai détaillée ci-dessus.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    L'humour, une vraie thérapie

     

    Relativiser, dédramatiser, énoncer des vérités inavouables et exprimer des pulsions inacceptables, mais aussi nous rendre capables de résister à l’injustice et allonger notre espérance de vie…

     

    Les pouvoirs thérapeutiques de nos plaisanteries et autres mots d’esprit sont irremplaçables.

    Isabelle Taubes

    L'humour dope l'amour de soi

    Une plaisanterie qui fait mouche est une véritable création.

    Mieux : c’est un moment de gloire.

      

    Grâce à ces chefs-d’oeuvre miniatures que sont le mot d’esprit ou la bonne blague, nos ego se gonflent de fierté.

      

    D’autant plus qu’ils ont vaincu la censure, transgressé les lois de la logique.

      

    Ce sentiment est encore plus intense quand nous réussissons à plaisanter d’une situation angoissante ou déprimante. Non seulement un sentiment de bien-être nous envahit, mais nous nous sentons soudain plus intelligents.

      

    Avantage supplémentaire :

    celui qui détient le précieux pouvoir d’amuser met la foule des rieurs de son côté. Ce n’est pas pour rien qu’aux États-Unis, les leaders politiques et les chefs d’entreprise commencent régulièrement leurs interventions par une bonne histoire.

     

    L'humour est un anti-dépresseur

    Toutes les catastrophes ou presque entraînent rapidement un déferlement de bonnes histoires. Pendant qu’un nuage de cendres paralysait le ciel européen, blagues et jeux de mots plus ou moins heureux ont immédiatement fait leur apparition. « Alors, ils volcans, les avions ? »

      

    « Décidément, les nuages volcaniques sont plus futés que les nuages atomiques : ils ne s’arrêtent pas aux frontières de la France »… Ce phénomène très humain rappelle le rôle cathartique de l’humour. Un bon mot et nos tensions disparaissent. Les histoires juives constituent le modèle de l’humour antidéprime qui transforme en bonnes blagues ce qui nous abattrait.

      

    Basées sur l’autodérision, elles nous apprennent à rire de nous-mêmes et de la cruauté de la vie, en reprenant toutes les accusations de l’ennemi : les juifs sont sales, voleurs, ne pensent qu’à l’argent, ont tué Jésus.

      

    « Oui, oui, on a tué le Christ, racontait Lenny Bruce, immense humoriste américain des années 1960.

    Et s’il revient, on le tuera encore. »

    Des larmes au rire, il n’y a qu’un pas. « Élie se plaint à Shlomo :

      

    “Mon fils s’est converti au catholicisme, une vraie catastrophe.”

    “Le mien rêve de se convertir, quelle honte !” répond Shlomo, lugubre. “Et le mien, vous savez ce qu’il a fait ?” rétorque Dieu, qui écoutait la conversation. » Morale de l’histoire : si l’Éternel lui-même a des problèmes avec son garçon, normal que j’en aie avec le mien.

     

    L'humour libère nos pulsions

    Selon la thèse développée par Freud dans Le Mot d’esprit et ses rapports avec l’inconscient (1905), l’humour, exactement comme les rêves, libère impunément nos pulsions les plus inavouables, sans que notre gendarme intérieur, le surmoi, s’en off usque. Il permet d’exprimer, sans se salir les mains, ce qui ne peut être dit ou, pire, mis en actes – nos envies de meurtre, nos fantasmes sadomasochistes, notre mépris de l’autre sexe, etc.

     

    « Qu’est ce qui est rouge et qui se tortille ? Un bébé pendu à un crochet de boucher. » Cette petite blague permet aux enfants de fantasmer tranquillement l’assassinat de leur petit frère, de se consoler de ne plus être le (ou la) préféré(e) ; et aux parents d’assassiner symboliquement le nourrisson qui les condamne à l’insomnie depuis sa naissance.

      

    « “Bonjour les filles”, lance un aveugle en passant devant une poissonnerie. »

    Cela revient à dire : les femmes sont des morues.

    Ce genre d’humour est une façon de satisfaire les pulsions sexuelles agressives et misogynes.

    Selon Freud, une blague obscène racontée à une femme a la valeur d’une invitation sexuelle détournée mêlée au désir de l’humilier…

    ( quant à Freud, j'ai un gros doute.....surtout lui ! )

      

    « Pourquoi les pets sentent-ils ?

    Pour que les sourds puissent en profiter ! » Voilà un mot d’esprit qui nous autorise à jouir innocemment de la pulsion anale – pipi-caca- boudin – comme seuls les moins de 10 ans en ont le droit.

    Les histoires drôles ressuscitent le plaisir enfantin, régressif, de jouer avec les sons, les mots, de les triturer en tous sens.

     

     

     

     

     

     

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    Solitudes des jeunes (PURESTOCK/SIPA)

     

      

      

      

    Le sentiment de solitude lui peut effectivement  mener... à la folie...

    Folie passagère ou non, cette échappée souvent mène au désespoir..

     

    Se sentir seul, c'est avoir besoin de communiquer comme je peux en avoir le besoin... alors oui...

    je pourrais devenir fou que de ne pouvoir converser...

     

      

    En revanche pour un esprit solitaire, la solitude peut être un moyen de devenir plus sociable quand il est en contact avec les autres... et malgré, tout a un besoin de communiquer avec les autres.... changer de personnalité, se rêver en héros ?

     

    Beaucoup de solitaires choisissent des réseaux sociaux...

    comme FACEBOOK, Twitter...

     

    ils ont l'impression de continuer ou de revivre une vie sociale  - souvent - perdue - bien souvent , falsfifiée - démesurée...sur un réseau..s'en invente....

     

    le mythe du BONHEUR.. ? pas toujours, mais souvent perdu, parfois inconnu.

      

    Ils se fabriquent un personnage, ou plusieurs, personnages multi facettes... se décrivent comme  des HEROS, des ECRIVAINES, des JOURNALISTES...

    les tous premiers colpoteurs d'informations...sur le PC....dès le matin de bonne heure.. à la fraiche... jusqu'au soir......s'ennuient, comblent leur ennui, leur solitude... névrose quand tu me tiens !!

     

    Informations qui souvent sont rabachées par les media, tout au long de la journée, de la semaine, voire  pendant des mois... mais QUE NENI...

     

    Se prennent pour des HOMMES d'AFFAIRES...des AUTODIDACTES..des ayant réussi et se sont enrichis...certaines se prennent pour des INFIRMIERES...héroïne au voile blanc...

    des COMEDIENNES, des FEMMES de HEROS....se prennent pour des BOURGEOISES NANTIES... devant leur toile cirée.... et leur SERIE préférée...ou les émissions TELE VENTE....SCHIZOPHRENIE ?

    sans doute pour certains... rêves fantasmés pour beaucoup d'autres...

    La SOLITUDE, d'où le rêve éveillé, les fantasmes...

     

      

     

     

    .. D' autres.. se prennent pour des GRANDS MANITOUS de la FINANCE...( souvent "Veufs, ou divorcés"........ )  qui plus est, des chefs d'entreprises florissantes, mais qui en réalité ne sont que des petits employés ..des petits retraités... soumis tout le long de leur vie...à leur travail.. à leurs horaires fixes, à un chef haï... 

     

    avec petite femme  " discrète, au foyer " et enfants...souvent encore en vie,.....   ou petite femme qui a quitté le foyer conjugal .. ou la vie... ses enfants ne le voient plus... habitent trop loin... bonne excuse...enfin une solitude un peu voulue...

     

    D'autres ont eu des revers de fortune.. ont tout craqué lors du décès de leur épouse...banqueroute qui s'était amorçée bien avant, panier perçé... pas du

    tout le sens des affaires...  mais premier au bar...se sont consolé dans tous les bars...les bars de luxe, les miteux, les bars à putes...jusqu'à l'ivresse oubli...son seul ami, l'alcool.

     

    Vous êtes ECRIVAIN ? oh pardon écrivainE...AUTEU- RE.....ah bon ?

    mais quant écrivez-vous ?

    vous êtes tout le temps collé devant votre écran de PC !! vous PUBLIEZ ?

     

    Ah oui ? dans quelle maison d'EDITION ?

    ah oui.. des contes pour enfants

    .. ah je vois...!! pour la crèche Municipale ?

     

     



    Certaines personnes ont besoin de se retrouver plus souvent avec elles mêmes qu'avec les autres, et pour d'autres c'est en étant avec les autres qu'elles se sentent vivre et donc devenir elles mêmes...


    Il n'y a pas de bonne ou mauvaise école sur ce genre de critères...

    Il y a aussi les pervers... là on les repère très vite..

    Discours contradictoire... passionnel dès le départ...passion enjouée,

     

    vous flatte, ne peut se passer de vous... vous êtes exceptionnelle..

    ne peut " vraiment plus se passer de vous, ira même vous demander en mariage

    - au bout de quelques jours - et là ATTENTION..... et là,

    l'arnaque commence, la sirène est ferrée...

     

     

    Facebook permet d'avoir une identité VIRTUELLE ce n'est pas un site IDENTITAIRE... tellement plus facile .. la Liberté ...

      

    déjà là...

      

    Rencontres parfois, avec des PERVERS NARCISSIQUES, MYTHOMANES,

    NEVROSES, ALCOOLIQUES...imbéciles pas-heureux...agressifs...propos vulgaires, jusqu'à salaces....

     

    Dona

     

    (pervers narcissiques cf - articles page )

     

     

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    La SOLITUDE touche près de 5 millions de personnes, rien qu'en FRANCE

      

    Il faut bien distinguer le sentiment de solitude (la solitude "perçue") de l’isolement social réel, car les deux ne vont pas toujours de pair : les personnes qui se sentent les plus seules ne sont pas nécessairement les plus isolées socialement, et vice versa.

     

    Un sentiment subjectif, relatif et culturellement déterminé

     

    Le sentiment de solitude est hautement subjectif. Les jeunes ont souvent une vie affective et relationnelle riche, mais ils restent très sensibles à la solitude.

     

    Surtout, le sentiment de solitude est relatif, à la manière du sentiment de pauvreté. On se sent d’autant plus pauvre que l’on côtoie des gens riches, ou que la société qui nous entoure nous fait penser que l’on pourrait devenir riche.

     

    À Las Vegas, par exemple, tout le monde peut se sentir relativement pauvre face aux potentialités d’enrichissement que les casinos font miroiter.

     

    Le sentiment de solitude est aussi culturellement déterminé. Aujourd’hui, les jeunes cherchent à avoir toujours plus d’amis et pensent que leur valeur individuelle dépend de leur capital social, voire de leur notoriété (sur le modèle de l’audimat). Du coup, ils ont tendance à dévaluer systématiquement leur propre vie sociale en la comparant à des idéaux très élevés de grande sociabilité, voire de célébrité.

     

    Les multimédias ne sont pas la cause de l’isolement social

     

    Internet, facteur d'isolement ? Une idée reçue. Je pense que les multimédias ne font qu’accompagner ou accentuer des phénomènes inhérents à la vie sociale : les gens sociables dans la vie "réelle" le seront également sur internet, et inversement.

     

    Il faut relativiser l’impact de Facebook et l’idée que les jeunes vivraient dans l’"illusion" d’avoir des dizaines et des dizaines d’amis, sous prétexte qu’ils les comptent dans leurs listes de contacts.

     

    On aurait pu dire la même chose, il y a vingt ans, de la liste de dizaines de personnes que chacun comptait dans son répertoire de numéros de téléphones et d’adresses, qui ne rassemblait pas que des amis proches.

     

    Les nouveaux moyens de communication peuvent néanmoins être trompeurs.

     

    Ils font penser à chacun qu'il est possible d'avoir accès à tout, tout le monde, partout et tout le temps. Mais, paradoxalement, ils peuvent aussi accentuer le sentiment d'isolement, surtout chez les personnes défavorisées ou mal socialisées qui ne possèdent pas toujours les codes et les modalités d'usage de ces outils.

     

    Avoir la possibilité d’envoyer un message à Barack Obama comme à n’importe qui en France ne résout pas les problèmes de socialisation, ni d'expression écrite ou orale. Au contraire, cela rend ce décalage et ces manques encore plus criants et culpabilisants.

     

    Pourquoi les femmes sont-elles plus touchées ?

     

    Cette étude montre que les femmes, les habitants des grandes villes et les inactifs sont plus touchés par la solitude. Ces données ne sont pas nouvelles.

     

    Le cas des femmes relève pour partie d’une variable culturelle :

    malgré leur émancipation, elles se sentent toujours moins capables et moins autorisées à initier des relations. Elles se sentent donc plus exposées à la solitude.

     

    Les habitants des grandes villes, quant à eux, constatent les innombrables possibilités de socialisation que leur offre la vie urbaine (associations, salles de sport, bars…), et peuvent éprouver le sentiment d’avoir une vie sociale relativement pauvre en comparaison à ce qu’elle pourrait ou "devrait" être.

     

    Le monde rural garde au contraire quelques mécanismes de socialisation traditionnels (par exemple la solidarité de proximité), qui peuvent dans certains cas mieux préserver les individus du sentiment de solitude.

     

    Être riche et en couple, ça rassure mais...

     

    Parmi les solutions avancées, l’étude précise que la première chose qui pourrait éradiquer cette solitude, c’est de "trouver l’âme sœur".

      

    Les jeunes voient les choses à l’envers en espérant davantage du couple (pour 32% d’entre eux) que des amis (13%) du travail (11%) ou de la famille (6%).

     

    Je trouve ce résultat assez significatif d’un piège dans lequel de nombreux jeunes sont pris. Ils considèrent le couple comme le lien d’appartenance le plus légitime, le plus important, alors même qu’il n’a jamais été aussi fragile et éphémère qu’aujourd’hui.

     

    La question de la rencontre amoureuse renvoie par ailleurs chacun à ses capacités relationnelles et à sa valeur individuelle : est-ce que je sais séduire ? Suis-je capable de plaire ? Les échecs amoureux et le célibat peuvent alors être très culpabilisants ; l’individu peut se dire qu’il est responsable de sa propre solitude. Cette importance accordée au couple met par ailleurs une grande pression sur celui-ci.

     

    Les jeunes croient aussi que l’argent est une solution pour se sentir moins seul (23% d’entre eux). Ce qu’on appelle "argent" prenait la forme de "travail" il y a quelques années.

      

    Aujourd’hui, "travail" rime avec "insécurité" et "chômage". L’argent est vu comme un passe-partout pour rentrer dans des groupes de sociabilité. Les jeunes se disent que plus ils en ont, et plus il sera facile pour eux de se faire des amis. Or, l’argent ne procure pas le sentiment d’appartenance à un groupe.

     

    Avec les dernières générations et pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, les jeunes qui rentrent dans la société n’ont aucune garantie d’y trouver une place. Tout dépend de leurs capacités, de leur soutien familial, de leur capital social…

     

    Les jeunes souffrent beaucoup de la menace de l’exclusion, de la solitude "potentielle". Tout devient menace ; les jeunes ont peur d’être exclus, que ce soit par le chômage, les ruptures amoureuses, le divorce, les déplacements géographiques. Aucun lien n’est aujourd’hui garanti à vie.

     

    Quand les jeunes se replient chez papa et maman

     

    Dans le monde d’aujourd’hui, la famille devient un rouage social déterminant. Même si cela n’apparaît pas dans cette enquête, d’autres études récentes ont montrés que les jeunes d’aujourd’hui accordaient une importance de plus en plus grande aux liens qu’ils ont avec leurs parents, et ce de plus en plus longtemps (jusque 25, 30, 35 ans).

     

    Les parents représentent une base de sécurité, un camp de repli, en cas de difficulté dans la vie sociale (rupture amoureuse, échec professionnel, période de chômage…). Si la société d’aujourd’hui demande à chacun une grande "confiance en lui" pour faire son chemin dans la société, la famille devient un agent déterminent de cette sécurité affective, que ce soit par l’éducation dans l’enfance et l’adolescence, ou par la disponibilité et le soutien qu’elle apporte au jeune dans les débuts de sa vie d’adulte.

     

    L'école doit aussi se remettre en cause

     

    Au niveau des études secondaires et supérieures, les établissements pourraient encourager davantage le sentiment d’appartenance et la sécurité psychologique qu’il procure (comme le font les lycées et les universités nord-américains). Les établissements français favorisent au contraire l’individualisme (culture de l’élitisme, de la méritocratie).

     

    La réussite et donc la légitimité et l’appartenance dépendent des capacités individuelles, selon un modèle assez binaire : soit l’individu réussit, soit il vit sous le sceau l’échec et de la honte qu’il en résulte.

     

    Propos recueillis par Louise Auvitu

      

      

      

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    L'univers, la Terre, l'Homme, nous sommes tous fait d'énergie

    L’univers, la Terre, l’Homme, nous sommes tous fait d’énergie

     

    La Loi de l’attraction: Qu’est ce que c’est ?

     

      1 Comment »

    L’univers, les planètes, la Terre, les êtres vivants, les êtres humains, nos organes vitaux, la table du salon, etc… tout est formé de cellules, tout est formés d’atomes ,et à la base, tout est formé d’energie.

     

    Tout, dans le monde qui nous entoure, est formé d’énergie.

      

    C’est l’ énergie qui fait fonctionner les choses et qui fait que les choses sont telles qu’elles sont.

    Il y a donc une force invisible qui relie toutes les choses entre elles.

     

    Nous avons tous en nous cette force, ce pouvoir, et nous travaillons tous la plupart du temps inconsciemment avec cette même loi :

     

    La Loi de l’attraction.

      

    Nous sommes comme des aimants, et tout ce qu’il se passe dans notre vie, ou plus précisément tout ce que nous attirons dans notre vie, et le résultat direct de la facon dont nous appliquons cette loi de l’attraction.

     

    Comment fonctionne la loi de l’attraction ?

     

    Le pouvoir de l’attraction est un pouvoir vibratoire. Nous l’avons tous en nous, et l’utilisons chaque jour à notre insu. Chaque être vivant et chaque objet émane une vibration .

    Vous émettez des vibrations selon ce que vous ressentez, selon vos émotions . Tout ce qui se passe à l’intérieur de vous modifie votre propre vibration et vous permet d’attirer à vous l’énergie de cette même vibration.

    Bien évidemment cette vibration peut changer au regard de ce qui se passe en votre intérieur. C’est ce qu’il se passe au plus profond de vous qui détermine si vous émmettez des « ondes » positives ou négatives. Et voilà ou est le problème : la plupart du temps les gens pensent et se focalisent sur ce qu’ils ne veulent pas .
      
    Quand vous pensez comme cela, vous focalisez sur des choses négatives et vos émotions reflètent cet état d’esprit : frustration, angoisse, anxiété. Cela génère plus négativité ,car, selon la Loi de l’Attraction, vous attirez ce que vous emettez.
      
    L’intérêt de comprendre cette loi est donc non plus de la subir mais de l’utiliser à votre avantage.Quel est le processus pour utiliser la Loi de l’attraction ?
      
    De facon trés basique , pour bien utiliser cette loi il faut respecter 3 étapes :
    • être reconnaissant de ce que l’on a et demander ce que l’on veut
    • croire que votre voeu est déja exhaucé, ne pas laisser place au doute, sentir aujourd’hui ce que vous sentirez le jour où vous l’aurez
    • lacher prise : laisser l’univers décider de comment il va mettre cela en place pour vous, votre seul boulot est de recevoir les opportunités qui seront mises sur votre chemin et de les saisir
     
    Comment appliquer la loi de l’attraction ?
     
    Vous me direz « trop facile, j’ai qu’à penser que je veux devenir riche et voilà! ».
    C’est là que réside la complexité dans l’application de la loi de l’attraction : vous devez ressentir vraiment intérieurement au plus profond de vous, le désir que vous émettez.
      
    Une simple pensée positive ne suffit pas, si votre ressenti intérieur n’est pas en harmonie avec cette pensée. (voir article comment fonctionne notre pensée)
     
    Si vous achetez un ticket de Loto en vous disant que vous allez gagner le jackpot mais que tout votre être vous dit « faut pas rêver, t’as aucune chance » et bien ce que vous émettez c’est que vous ne pouvez pas gagner, que vous ne le méritez pas.
     
    Pour pouvoir appliquer La loi de l’attraction de facon à ce qu’elle travaille en notre faveur, il faut donc contrôler nos pensées (mais ce serait une tâche un peu difficile : les scientifiques disent que nous avons en moyenne environ 60000 pensées pas jour, imaginez combien il serait épuisant de vouloir toutes les canaliser!!) .
      
    En revanche ce que l’on peut contrôler plus facilement ce sont nos émotions et donc les vibrations que nous émettons. Et il existe des techniques pour cela (je vous en reparlerai dans d’autres articles)
    Pour vous aider à mieux comprendre le concept de la loi de l’attraction, je vous conseille de regarder
      
     
      
    Cela a été un déclic pour moi. Il s’agit d’un documentaire regroupant plusieurs intervenants (écrivains,auteurs, docteurs en metaphysiques, en physique quantique, en psychologie, thérapeutes , entrepreneurs, philosophe, coach en stratégie financière etc …) qui vous expliquent ce qu’est la Loi de l’attraction. Je vous le recommande vivement!
      
    Bien que ce soit le genre de documentaire à regarder régulièrement, si vous ne pouvez pas vous permettre de vous l’offrir, essayez au moins de le visionner une fois en le louant par exemple.
      
    Si vous ne l’avez pas encore fait
      
     
     
     
     http://www.etre-bien-et-positif.com/
     
     
     
     

     

    principe de la loi d'attraction

    principe de la loi d’attraction : vous êtes un aimant

     

    Peut être avez-vous vu le film « Le secret »

      

    et, comme pour moi, cela a été le début de votre intérêt pour La Loi d’attraction. Je n’en avais jamais entendu parler avant, et à vrai dire, je pense que c’est juste un terme. L’important c’est comprendre pour bien l’utiliser.

    Le principe de la Loi d’attraction c’est que l’on attire ce que l’on ressent.

      

    Vous êtes comme un aimant attirant les circonstances, les gens ou les choses dans votre vie. Vos pensées, vos visions et vos sentiments travaillent ensemble pour attirer certaines choses dans votre vie.

      

    Plus vous vous renseignerez sur la loi d’attraction, plus vous prendrez conscience que vous êtes entièrement responsable de ce qui vous arrive.

    Cela peut être un peu difficile à avaler surtout si vous avez été élevé dans la croyance que vous êtes punis ou récompensés de vos actes par Dieu.

    C’est un concept également un peu difficile à croire pour quelqu’un de très rationnel surtout quand la loi d’attraction nous est décrite sous un angle spirituel, de la force des énergies, de l’univers etc.…

     

    La loi d’attraction c’est du bon sens

     

    Personnellement je trouve que La loi d’attraction est juste quelque chose de logique et plein de bon sens.

    -Elle permet d’être plus en contact avec nos pensées, désirs et croyances inconscientes. Je crois vraiment que notre inconscient à des croyances extrêmement fortes et ancrées qui influencent notre conscient et donc notre comportement.

      

    Le manque de confiance en soi par exemple peut venir de croyance très ancrées et inconscientes.

     

    -Elle vous permet d’être conscient de ce que vous souhaitez réellement et d’avancer dans ce sens.

      

    Il est beaucoup plus facile de voir et de saisir les bonnes opportunités quand vous avez une vision précise de ce que vous souhaitez dans la vie et de quels sont vos objectifs.

     

    Voici 4 conseils pour mieux comprendre la loi d’attraction

      

    Comprendre la loi d’attraction demande énormément de temps et son apprentissage est sans fin. Voir un film tel que « Le secret » n’est pas suffisant. Il ne s’agit pas simplement de connaître et de savoir mais aussi de l’appliquer. Et plus vous en saurez au sujet de la loi d’attraction, mieux vous la comprendrez et saurez vous en servir.

      

    Voici quelques conseils pour mieux comprendre la loi d’attraction :

     

    1. Lisez des livres sur le sujet et sur le développement personnel. Même si le terme « Loi d’attraction » n’est pas toujours utilisé, le principe reste le même. Il y a des milliers de livres, difficile de les lister.

     

     

    1. Commencez par « Réfléchissez et devenez riche » de Napoleon Hill

     

    1. Pratiquez tous les jours.

     

    1. Appliquez les conseils que vous trouverez sur ce blog.

     

    1. Ou au cours de vos lectures. Commencez dés aujourd’hui.

     

    1. Soyez patient. Ca ne vient pas du jour au lendemain,

     

    1. Tout dépend de vous et de votre capacité à ressentir les choses, à être focalisé sur ce que vous voulez (et non pas sur ce que vous ne voulez pas) mais sans être désespérément focalisé (tout est question de trouver le bon équilibre). Soyez ouvert aux opportunités et saisissez les

     

    1. Inscrivez-vous ici pour recevoir les 7 vidéos gratuites que je vous offre pour mieux comprendre la loi d’attraction.

      

    En conclusion, et cela pourrait être un 5ème conseil : échangez vos expériences avec d’autres personnes.

      

    Cela motive quand on voit que ca marche, et c’est extrêmement gratifiant de donner espoir aux autres au travers de nos expériences.

      

    Partagez-les au travers de vos commentaires. Si vous avez une histoire à raconter sur la Loi d’attraction, je me ferai une joie de la publier sur ce blog.

     
     
     
     
     
     
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    La sanction disciplinaire

     

      
    Synthèse

     

    Une sanction disciplinaire est une mesure prise par l’employeur à la suite d’agissements du salarié qu’il considère comme fautifs. Avant d’appliquer la sanction, l’employeur est tenu de respecter une procédure destinée à informer le salarié concerné et à lui permettre d’assurer sa défense. Si la sanction envisagée est le licenciement, la procédure de licenciement pour motif personnel doit être respectée.


    En cas de litige, le conseil de prud’hommes apprécie la régularité de la procédure suivie et si les faits reprochés au salarié sont de nature à justifier une sanction.

     

    A savoir

    Une convention collective peut prévoir des dispositions spécifiques en matière de sanctions disciplinaires.

     

    Sommaire

     

     

     

     

    Fiche détaillée

     

    Agissements fautifs du salarié : de quoi s’agit-il ?

     

    L’employeur peut juger que le comportement du salarié ne correspond pas à l’exécution normale du contrat et constitue une faute. Peuvent notamment être considérés comme fautifs :

     

     

     

    • le non-respect des règles de discipline fixées par le règlement intérieur ou par note de service ;
    • le refus de se conformer à un ordre de l’employeur ;
    • le non-respect de l’obligation de discrétion et de loyauté ;
    • les critiques, les injures, les menaces, les violences ;
    • les erreurs ou les négligences commises dans le travail.

     

    Dans les entreprises d’au moins 20 salariés, le règlement intérieur est obligatoire. Il fixe les règles générales et permanentes relatives à la discipline et notamment la nature et l’échelle des sanctions. Il énonce également les dispositions relatives aux droits de la défense des salariés et rappelle les dispositions protectrices en faveur des victimes et des témoins de harcèlement sexuel ou moral …). Une sanction ne peut alors être prononcée à l’encontre d’un salarié que si elle est prévue par le règlement intérieur ; s’il s’agit d’une mise à pied disciplinaire, celle-ci ne sera licite que si le règlement fixe sa durée maximale (Cass. soc., 26 oct. 2010).

     

     

     

    La faute peut être légère, sérieuse, grave (si elle cause des troubles sérieux et rend impossible le maintien du salarié dans l’entreprise) ou lourde (si par son comportement le salarié a eu l’intention de nuire à l’employeur ou à l’entreprise).

     

     

    Quelles sont les caractéristiques de la sanction disciplinaire ?

     

    La sanction disciplinaire doit être proportionnée à la faute commise. À l’exception de l’avertissement, elle est de nature à affecter - immédiatement ou non - la présence du salarié dans l’entreprise, sa fonction, sa carrière ou sa rémunération.

     

     

     

    L’employeur ne peut sanctionner deux fois la même faute.

     

     

     

    La sanction disciplinaire peut être :

     

     

     

    • un blâme ;
    • une mise à pied disciplinaire (sans salaire) ;
    • une rétrogradation ;
    • une mutation ;
    • un licenciement pour faute réelle et sérieuse ;
    • un licenciement pour faute grave (sans préavis ni indemnité) ou lourde (ni préavis, ni indemnité, ni congés payés). Les simples observations verbales ne sont pas considérées comme sanction disciplinaire.

     

    Dans les entreprises d’au moins 20 salariés, le règlement intérieur est obligatoire et fixe la nature et l’échelle des sanctions.

     

     

     

    La procédure disciplinaire doit également être mise en œuvre par l’employeur qui souhaite mettre fin, par anticipation, au CDD du salarié en raison d’une faute grave (ou d’une faute lourde) de ce dernier, étant précisé, toutefois, que, dans une telle situation, la rupture du CDD est soumise aux seules prescriptions des articles L. 1332-1 à L. 1332-3 du code du travail qui ne prévoient aucune formalité pour la convocation à l’entretien préalable à la sanction disciplinaire (voir en ce sens, l’arrêt de la Cour de cassation du 20 novembre 2013)

     

     

    Quelles sont les sanctions interdites ?

     

    Sont interdites :

     

     

     

    • les amendes et autres sanctions pécuniaires ;
    • les sanctions prises en considération de l’origine, du sexe, des moeurs, de l’orientation ou de l’identité sexuelle, de l’âge, de la situation de famille ou de la grossesse, des caractéristiques génétiques, de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une race, des opinions politiques, des activités syndicales ou mutualistes, des convictions religieuses, de l’apparence physique, du nom de famille, du lieu de résidence ou en raison de l’état de santé ou du handicap du salarié (le motif tiré du lieu de résidence a été ajouté à l’article L. 1132-1 du code du travail par la loi n° 2014-173 du 21 février 2014 citée en référence, en vigueur depuis le 23 février 2014).
    •  
    • les sanctions prises à l’encontre d’un(e) salarié(e) victime ou témoin de harcèlement sexuel ou moral ;
    •  
    • les sanctions qui font suite à l’exercice par le salarié de son droit de retrait pour danger grave et imminent.
    •  
    • les sanctions liées à l’exercice normal du droit de grève ;
    •  
    • les sanctions prises à l’encontre d’un(e) salarié(e) pour avoir témoigné des agissements définis aux articles L. 1132-1 et L. 1132-2 du code du travail ou pour les avoir relatés ;
    •  
    • les sanctions prises à l’encontre d’un(e) salarié(e) pour avoir relaté ou témoigné, de bonne foi, soit à son employeur, soit aux autorités judiciaires ou administratives, de faits de corruption dont il aurait eu connaissance dans l’exercice de ses fonctions.
    •  
    • les sanctions prises à l’encontre d’un(e) salarié(e) pour avoir relaté ou témoigné, de bonne foi, soit à son employeur, soit aux autorités judiciaires ou administratives de faits relatifs à la sécurité sanitaire des produits mentionnés à l’article L. 5311-1 du code de la santé publique dont elle aurait eu connaissance dans l’exercice de ses fonctions (article L. 5312-4-2 du code de la santé publique) ;
    •  
    • les sanctions prises à l’encontre d’un(e) salarié(e) pour avoir relaté ou témoigné, de bonne foi, soit à son employeur, soit aux autorités judiciaires ou administratives de faits relatifs à un risque grave pour la santé publique ou l’environnement dont elle aurait eu connaissance dans l’exercice de ses fonctions (article L. 1351-1 du code de la santé publique) ;
    •  
    • les sanctions prises à l’encontre d’un(e) salarié(e) pour avoir relaté ou témoigné, de bonne foi, à son employeur, à l’autorité chargée de la déontologie au sein de l’organisme, à une association de lutte contre la corruption agréée ou aux autorités judiciaires ou administratives de faits relatifs à une situation de conflit d’intérêts, telle que définie à l’article 2 de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013, concernant l’une des personnes mentionnées aux articles 4 et 11 de cette même loi (membres du Gouvernement, représentants français au Parlement européen, membres des cabinets ministériels, collaborateurs du Président de la République, du président de l’Assemblée nationale et du président du Sénat, etc.), dont elle aurait eu connaissance dans l’exercice de ses fonctions (article 25 de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013, JO du 12 octobre 2013).

     

     

     

    http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/les-fiches-pratiques-du-droit-du,91/sanctions-et-pouvoir-disciplinaire,111/la-sanction-disciplinaire,1011.html

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Comment une sanction doit-elle être notifiée ?

     

    Avant de prendre une sanction, autre qu’un avertissement, l’employeur doit convoquer le salarié à un entretien préalable en précisant l’objet, la date, l’heure et le lieu de l’entretien. La convocation rappelle au salarié qu’il peut se faire assister par une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise. Lors de l’entretien, l’employeur indique les motifs de la sanction envisagée et recueille les explications du salarié. La convocation à l’entretien et la notification de la sanction doivent être faites par lettre recommandée ou remise en main propre contre décharge. La sanction ne peut intervenir moins de deux jours ouvrables, ni plus d’un mois après le jour fixé pour l’entretien. Le salarié est informé par écrit de la nature et des motifs de la sanction prononcée à son égard.

     

     

     

    Sont des jours ouvrables tous les jours de la semaine, à l’exception du jour de repos hebdomadaire (généralement le dimanche) et des jours fériés habituellement non travaillés dans l’entreprise.
    Par ailleurs :

     

    • lorsqu’un délai est exprimé en jours, celui de l’acte ou de la notification qui le fait courir ne compte pas ;
    • le délai qui expirerait normalement un samedi, un dimanche ou un jour férié ou chômé, est prorogé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.

     

     

    Lorsque les faits reprochés au salarié sont d’une particulière gravité et rendent impossible son maintien dans l’entreprise, l’employeur peut prendre à son encontre une mesure conservatoire de mise à pied à effet immédiat (« mise à pied conservatoire »). Dans ce cas, le salarié est dispensé d’exécuter son travail et l’employeur doit engager la procédure disciplinaire précisée ci-dessus, aucune sanction définitive relative à ces faits ne pouvant être prise sans que cette procédure ait été respectée. Si la mise à pied conservatoire est suivie d’un licenciement pour faute grave ou lourde, le salarié ne sera pas rémunéré pour la durée correspondant à cette mise à pied conservatoire.

     

     

     

    Si la sanction encourue est le licenciement, c’est la procédure propre au licenciement pour motif personnel qui doit être respectée.

     

     

     

     

     

     

    Comment contester une sanction ?

     

    Dans tous les cas (même à la suite d’un avertissement), le salarié a tout intérêt à présenter ses explications à l’employeur, par écrit ou par l’intermédiaire des représentants du personnel.

     

     

     

    S’il s’estime injustement ou trop lourdement sanctionné, il peut saisir le conseil de prud’hommes. Celui-ci est, en effet, seul compétent pour apprécier la régularité de la procédure disciplinaire et pour décider si les faits reprochés au salarié justifient la sanction infligée. Il peut annuler la sanction, sauf s’il s’agit d’un licenciement pour lequel d’autres règles sont applicables. Si un doute subsiste, il profite au salarié.

     

     

     

     

     

     

    Existe-t-il un délai de prescription ?

     

    Aucun fait fautif ne peut à lui seul donner lieu à sanction, passé un délai de deux mois à compter du jour où l’employeur en a eu connaissance (sauf en cas de poursuites pénales). De même, aucune sanction datant de plus de trois ans ne peut être invoquée à l’appui d’une nouvelle sanction.

     

     
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    PROCESSUS du PERVERS NARCISSIQUE

     

     

     

    Pour apprécier cette vidéo, supprimer le fond musical de ce blog,

    cliquez sur le logo central de RADIONOMY. merci

      

      

     

    Cette pathologie est très souvent accompagnée de mythomanie pour que le pervers narcissique puisse se valoriser et s'aimer toujours plus.

     

     
    Les PN ne sont ni plus ni moins que des machines à broyer les belles âmes. Il faut beaucoup de courage pour prendre conscience et choisir la résilience. Il y a un AVANT et un APRÈS
     
     
     Les pervers narcissiques sont des individus souffrant d'une psychopathologie complexe, souvent difficile à identifier. Il correspond à un mécanisme de manipulation mentale souvent dramatique pour les victimes.

     

    Définition


    Le terme de « perversion narcissique » a été utilisé la première fois en 1986, dans un ouvrage du psychanalyste français Paul-Claude Racamier. D'autres auteurs ont depuis repris et étayé ce terme pour décrire une psychopathologie reposant sur la manipulation mentale. Elle permet à un individu d'exercer une emprise sur un autre.
      


    La
    pathologie comprend donc deux aspects :

    Troubles narcissiques


    Le pervers narcissique a inlassablement besoin d'être admiré. La quête excessive de reconnaissance et d'empathie sont deux autres marqueurs de ces troubles.

    Perversion


    La tendance à vouloir satisfaire ses désirs et de ses besoins aux dépens des autres, et donc à utiliser autrui à ses propres fins.Un pervers narcissique présente donc une personnalité marquée à la fois par un narcissisme exacerbé et des traits de perversion morale.

    Pervers narcissique


    Le pervers narcissique procède par différentes étapes pour mettre en oeuvre la manipulation mentale :

    Il essaie de créer un lien avec autrui, et s'attaque à « l'intégrité narcissique » (voir document 1 cité plus bas) de ce dernier .Il attaque la confiance de soi et l'auto-estime d'autrui pour créer un lien de dépendance de l'autre envers lui. La manipulation consiste à faire croire que le lien de dépendance procède de la victime, non de lui. La victime d'un pervers narcissique est traitée comme un objet

    Victime


    La réussite de la manipulation mentale dépend des dispositions psychologiques de la victime, qui sous certaines conditions, vont l'amener à se soumettre à un pervers narcissique.

    Cette approche de la pathologie est détaillée par le
    psychiatre et psychanalyste Alberto Eiguier dans son livre « Le pervers narcissique et son complice. »

    Perversion narcissique et harcèlement au travail


    La perversion narcissique entre dans le cadre des pathologies en cause dans les cas de harcèlement, notamment au travail. Elle vise dans ce cas à « humilier, détruire l'autre et à valoriser son pouvoir social ou personnel »
     

     

     

     

     

     

     

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    Dès les premiers instants, le manipulateur crée des dossiers avec toutes les confidences que nous lui offrons spontanément. Il s'en sert avec jubilation contre nous le moment venu.

      

    Geneviève Schmit, experte dans l'aide aux victimes de manipulateurs pervers narcissiques. http://soutien-psy-en-ligne.fr

     

     

     

     

     

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    Abruti : personne sans intélligence. Synonymes : idiot, stupide.


    Allumeur / allumeuse : homme ou femme aguichant(e), qui cherche à exciter.


    Andouille : se dit d'une personne foncièrement bête. Synonymes : niais, imbécile.


    Avorton : être petit et chétif, mal formé. Synonymes : nain, nabot.

    Baiser (1): action de posséder quelqu'un physiquement et sexuellement. Synonymes : sauter, niquer.


    Baiser (2): fait d'arnaquer quelqu'un, de lui jouer un tour. Dans ce sens on utilisera aussi la forme réfléchie se faire baiser,"baiser" n'est pas une insulte mais un terme argotique. Synonymes : arnaquer, truander ; se faire avoir, se faire couilloner.


    Bâtard : traître, qui n'est pas loyal.


    Beauf : français moyen aux idées étroites et bornées ayant un goût prononcé pour la vulgarité. Synonymes : plouc, groseille.


    Blaireau : individu antipathique, conformiste et borné. On peut traiter quelqu'un de blaireau dans divers contextes, notamment pour se moquer de lui ou pour l'agresser verbalement sous le coup de la colère.


    Bordel (1): grand désordre. Synonymes : foutoir, bazar, capharnaüm, taudis.


    Bordel (2): juron très courant pour marquer sa colère ou son impatience.


    Boudin : fille mal faite, petite, grosse et informe. Synonymes : cageot, laideron.


    Bouffon : celui qui amuse en étant la risée des autres, malgré lui, à cause de sa fantaisie et de son manque de délicatesse.

    Synonymes : blaireau, golio.


    Bougre : juron qui marque selon le contexte la colère, l'étonnement ou tout autre émotion (ne s'utilise plus beaucoup).


    Bourge : sert à marquer son profond dédain envers une personne issue d'un milieu aisé ayant des privilèges ou des facilités dans la vie et ne se rendant pas toujours compte des réalités.


    Bouseux : terme familier et très péjoratif signifiant paysan. Synonymes : plouc, cul-terreux.


    Branler (1): la forme pronominale "se branler" désigne le fait de se mastuber. Synonyme : s'astiquer le poireau.


    Branler (2): "s'en branler" signifie "s'en foutre", "s'en moquer" ou le fait de ne pas s'intéresser à quelque chose.


    Branleur : personne qui ne fiche rien / ne fait rien, se laisse aller, sans but ni ambition. Synonymes : bon à rien, paresseux, glandeur, pisseux.


    Branque : personne que l'on peut facilement berner. Synonymes : blaireau, branquignol, cave, niais.

    Cageot : femme au physique peu attirant voire carrément repoussant. Synonymes : laideron, boudin.


    Chameau : personne méchante, hargneuse et désagréable. Synonymes : salaud, méchant.


    Chien : personne sans vergogne capable des chosesles plus viles même envers ses proches. Synonymes : batârd, enculé, enfoiré, raclure, salaud.


    Chier : se libérer le ventre des aliments digérés. Synonymes : faire caca, aller aux toilettes, déféquer, couler un bronze, démouler un cake.


    "faire chier quelqu'un": embêter une personne, l'ennuyer, lui causer des soucis. Synonymes : emmerder, agacer.


    Chieur : personne ennuyeuse, pointilleuse et désagréable. Synonymes : casse-couilles, emmerdeur, enquiquineur.


    Con : personne manquant d'intelligence, se conduisant de manière absurde, inepte ou ridicule.


    Con(n)ard : terme familier dont on se sert pour rabaisser une personne très énervante. Synonymes : crétin, con, imbécile. Cette insulte est très courante en France surtout derrière le volant d'une voiture.


    Con(n)asse : femme stupide et désagréable pour qui on n'a aucun respect. Synonymes : imbécile, idiote.


    Couilles : testicules. Synonymes : boules, roustons, roubignoles, bijoux de famille. Ceci a donné diverses expressions comme : avoir des couilles (être courageux), être une couille molle (être peureux), partir en couilles (mal tourner, dégénérer), casser les couilles (fatiguer, devenir gênant, ennyuer). Casser les couilles est une expression si courante que même les femmes l'utilisent.


    Couillon : personne sotte, en peu simplette. Synonymes : imbécile, idiot.


    Couillonner : tromper quelqu'un, lui mentir, le mener en bateau. Synonymes : arnaquer, carotter, duper, pigeonner. "se faire couillonner" = "se faire avoir"


    Crétin : personne sotte et stupide. Synonymes : andouille, âne, buse, idiot, simplet.


    Crevard : personne capable de toutes les mesquineries et de s'abaisser pour parvenir à ses fins. Synonymes : cynique, sans foi ni loi.


    Cul : partie postérieure du corps. Synonymes : arrière train, croupe, derrière, fesses.


    Expressions communes avec "cul" :
    avoir le feu au cul = être en chaleur
    en avoir plein le cul = en avoir marre
    être comme cul et chemise = être inséparables
    être un trou du cul = être un con
    péter plus haut que son cul = se prendre pour quelqu'un de supérieur, quelqu'un que l'on est pas
    tomber sur le cul = être surpris
    se botter le cul = se faire violence
    se casser le cul = se donner du mal
    se magner le cul = se presser
    se sortir les doigts du cul = se presser
    un tire-au-cul = un feignant
    un faux-cul = un hypocrite

    Déconner (1): raconter ou faire des choses absurdes et ineptes ou des bêtises. Synonymes : débloquer, délirer, déraper, faire des sottises. Par extension déconner veut dire aussi s'amuser en faisant n'importe quoi.


    Déconner (2): ne pas fonctionner correctement. Synonymes : dysfonctionner, merder, ne pas marcher.


    Dégueulasse : chose ou personne à l'aspect répugnant. Synonymes : crade, dégoûtant, sale. Le nom substantivé apporte un jugement moral très négatif : c'est dégueulasse = c'est ignoble, infâme, salaud, injuste.


    Démerder : se démerder d'est s'en sortir par ses propres moyens, s'extraire d'une situation délicate. Synonymes : se débrouiller, se tirer d'affaire.



    Emmerder : embêter, ennuyer, gêner.


    Emmerdeur : personne pénible et embêtante, importune et tatillone. Synonymes : chieur, enquiquineur, raseur.


    Enculé : personne détestable et sournoise, sans foi ni loi.

    Synonymes : cynique, salaud, fumier.


    Enculer : posséder physiquement par sodomie. Synonymes : sodomiser, défoncer la turbine à chocolat, exploser les nerfs du cul, attaquer le petit jaune.


    "enculer les mouches" = porter son attention sur des détails futiles qui font perdre du temps.


    Enflure : personne au comportement déloyal ou hypocrite. Synonymes : traître, salaud.


    Cette insulte se rapproche de "enculé" en moins vulgaire et moins violent. 


    Enfoiré : personne maladroite et imbécile. Synonymes : ballot, bête. On utilise couramment enfoiré à la place d'enflure ou de bâtard.

    Feignasse : personne incapable de fournir le moindre effort et sur laquelle on ne peut pas compter pour rendre service. Synonymes : feignant, paresseux, glandeur.


    Fils de pute : enfant né d'une mère prostituée et d'un père supposé inconnu. Expressions synonymes : enculé de ta mère, ta mère la pute.
    Sans doute l'insulte qui déclenche le plus de bagarres...


    Fouille-merde : personne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas et aime ensuite tout répéter, tout amplifier et déformer. Synonymes : mégère, langue de pute, concierge.


    Foutre : formule vulgaire pour "faire l'amour". Synonymes : baiser, copuler.
    "va te faire foutre" : s'entendre dire sans ménagement de déguerpir. Synonymes : aller se faire voir, circuler, dégager.


    Fumier : homme méprisable et sans vergogne. Synonymes : ordure, salaud.

    Garce : fille de mauvaise vie dont on a à se plaindre pour quelque raison. Synonymes : chipie, chienne, chameau.


    Derrière le mot garce il y toujours un sentiment d'amertume, de trahison.

    Gland : extrémité de la verge chez l'homme. Par extension sans doute gland s'utilise aussi pour parler d'un sot, d'un imbécile. Synonymes : benêt, nigaud, niais.


    Gouine : femme s'adonnant aux plaisirs homosexuels. Synonymes : lesbienne, goudou, gouinasse, broute minou.


    Grognasse : femme laide, vieille et antipathique. Synonyme : mégère.
    Gueule : bouche des humains en tant que canal permettant de parler. Par extension c'est aussi le visage. Synonymes : face, figure, tête, tronche, poire, bouche.


    Casser la gueule : taper sur quelqu'un


    Avoir une grande gueule : être trop bavard et sûr de soi


    S'en mettre plein la gueule : se bâffrer



    Lèche-cul : personne qui flatte de manière hypocrite. Synonymes : fayot, lécheur.
    En règle général le lèche-cul flatte les gens ayant davantage de pouvoir que lui.
    Lopette : homme veule et sans caractère. Synonymes : froussard, peureux, gonzesse.

    Merde : terme vulgaire pour parler des excréments humains et animaux. Synonymes : crotte, excrément, daube.


    Tout aussi vulgaire on s'en sert tout aussi bien au singulier qu'au pluriel pour parler de ses ennuis, de ses difficultés. Synonymes : emmerde, souci, ennui. Juron très vulgaire qui exprime, sous forme d'interjection, la colère ou l'indignation.


    Bien que très vulgaire ce mot s'emploie à tour de bras, mais attention ! à éviter à l'école, au boulot...

    Merdeux : personne qu'on repousse avec mépris et dégoût. Synonymes : minable, blanc-bec, moins-que-rien.


    On utilise aussi merdeux/merdeuse précédé de le/la pour parler avec affection d'un gamin(e).

    Mince : cette interjection marque l'étonnement, la surprise ou la colère.
    Mince est euphémisme pour merde qui passe mieux dans certaines situations en évitant la grossièreté.


    Morveux : personne qui se donne des airs importants et croit tout savoir sur tout. Synonymes : prétentieux, branleur, cabot.


    On l'emploie surtout pour remettre à sa place les jeunes trop sûrs d'eux et qui parlent sans avoir vécu.

    Nase/Naze : en mauvais état. Synonymes : pourri, foutu, déglingué.
    Par extension se dit d'une personne pour dire qu'elle est lourde, qu'elle ne vaut rien. Synonymes : cave, vaurien, minable.


    Niquer (1): prendre, posséder physiquement. Synonymes : baiser, sauter, tringler, charcler.


    Niquer (2): arnaquer quelqu'un. Synonymes : baiser, carotter, duper.


    Nom d'un chien : juron, interjection familière pour exprimer sa colère, son impatience.


    Nom de dieu : interjection qui sert à exprimer toutes les émotions humaines. Seul le ton et les circonstances dans lesquelles elle est dite permettent de savoir si il s'agit de joie, colère, surprise...

    Ordure : personne infâme, abjecte et haïssable. Synonymes : enculé, fumier, raclure.

    Pédale : homosexuel. Synonymes : pédéraste, pédé, folle, tantouze, tante, gai.
    Pédé : homme homosexuel. Synonymes : sodomite, tante, folle. Pédé est le diminutif de pédéraste.


    Pétasse : femme qui débute dans la prostitution ou qui fait ça de manière occasionnelle. Synoynmes : putain, poufiasse.


    Péteux : personne jeune manquant d'assurance naturelle et cherchant vainement à faire preuve d'autorité.


    Pimbêche : femme déplaisante, insolente et prétentieuse qui fait des manières.


    Pisseux : personne sans aucune expérience (notamment sexuelle). Synonymes : puceau, inexpérimenté, vierge, ignare.


    Plouc : paysan. Par extension personne rustre qui n'a pas appris les bonnes manières ni le savoir-vivre. Synonymes : bouseux, cul-terreux, péquenaud, pedzouille.


    Porc : personne dont l'aspect physique, l'immoralité ou la mauvaise foi intellectuelle provoquent dégoût et dédain. Synonymes : cochon, fumier, ordure, pourceau.


    Poucav : personne qui dénonce. Synonymes : délateur, balance.


    Pouffiasse : prostituée. Par extension, femme très vulgaire.


    Pourri : personne altérée dans son intégrité morale. Synonymes : corrompu, vendu.


    Punaise : interjection qui sert d'exclamation de surprise ou de dépit.


    Purée : Interjection qui marque l'impatience, la colère ou l'étonnement.


    Putain : femme facile, de mauvaise vie, sans morale, débauchée. Synonymes : pute, catin.


    On peut aussi se servir de "putain" comme d'un adjectif pour maudire quelqu'un ou quelque chose : Quel putain de temps de merde !


    Pute : femme qui gagne sa vie en vendant son corps aux hommes. Synonymes : catin, péripatéticienne, putasse.


    On utilise aussi les expressions "avoir une langue de pute" ou "faire sa pute" à propos de personnes sans parole et aimant "cracher sur le dos des autres" (dire du mal des gens).

    Queutard : homme séducteur et volage qui couche avec beaucoup de femmes sans la moindre morale. Synonymes : baiseur, jouisseur, noceur, débauché, libertin.

    Raclure : personne méprisable, sans foi ni loi. Synonymes : crapule, vermine.

    Sa race : interjection qui exprime toutes sortes d'émotions, notamment la colère ou l'étonnement.


    Cette interjection est aujourd'hui très courante et remplace des juraons plus anciens : nom d'une pipe ! sacrebleu ! sapristi ! saperlipopette ! bon sang !
    Mais attention cette forme est plus vulgaire et ne doi tpas s'utiliser dadns tous les contextes !


    Sainte nitouche : femme maniérée qui se donne des airs d'innocence, de sagesse, et de pruderie. Synonymes : hypocrite, cul-de-bénitier, coincée.


    Salaud : personne détestable, sans morale nirespect. Synonymes : fumier, salopard, goujat, dégeulasse.


    Salopard : personnenon recommandable, en qui on ne peut avoir confiance.


    Salope : femme dévergondée, immorale et lascive. Synonymes : garce, traînée.


    Saloperie : saleté, cochonnerie.

    Tapette : qualifie un homosexuel; Par extension, on l'utilise également pour décrire une personne poltronne et lâche.


    Tête de noeud : le noeud est le sexe de l'homme. Le sens de l'injure revient à traiter quelqu'un d'imbécile. Synonymes : simplet, idiot, tête-vide, cervelle de moineau, pétoncle.


    Thon : femme laide et souvent forte. Synonymes : cageot, boudin, grosse baleine, vieille vache.


    Tocard : personne incapable de faire quoi que ce soit, sans qualités physiques ou intellectuelles ni savoi-faire. Synonymes : sous-doué, médiocre, cancre, balletringue.


    Traînée : femme qui mène une vie immorale et débauchée. Synonymes : putain, salope.


    Tronche de cake : personne peu futée, intellectuellement limitée. Synonymes : abruti, imbécile, benêt, idiot.


    Trou du cul / trouduc : personne insupportable qui souvent ne fait rien de bien et n'inspire rien de positif. Synonymes : trou de balle, merdeux, pine d'ours.

    la Vache : interjection qui marque l'étonnement ou l'admiration.


    Vieille peau : expression méprisante pour parler d'une femme agée qui pense encore plaire en cachant ses rides derrière un maquillage outrancier. Synonymes : vieille bique, vioque.

    Zut : juron gentillet sous forme d'interjection qui exprime le dépit, le mépris, le refus. Synonymes : flûte, crotte, merde !

    Beaucoup de définitions sont tirées de J'insulte dans toutes les langues de Louis Jouve (Studyrama).

      
    COMMENT REAGIR face aux INSULTES
      
     http://www.evolution-101.com/comment-reagir-aux-insultes/
     
     
     

     

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    Scott Sculberg

     

     

    Remember today, for it is the beginning.
    Today marks the start of a brave new future.

      

    Our previous article, 30 Things to Stop Doing to Yourself, was well received by most of our readers, but several of you suggested that we follow it up with a list of things to start doing. In one reader’s words, “I would love to see you revisit each of these 30 principles, but instead of presenting us with a ‘to-don’t’ list, present us with a ‘to-do’ list that we all can start working on today, together.” Some folks, such as readers Danny Head and Satori Agape, actually took it one step further and emailed us their own revised ‘to-do’ versions of the list.

    So I sat down last night with our original article and the two reader’s revisions as a guide, and a couple hours later finalized a new list of 30 things; which ended up being, I think, a perfect complement to the original.

    Here it is, a positive ‘to-do’ list for the upcoming year – 30 things to start doing for yourself:

    1. Start spending time with the right people. – These are the people you enjoy, who love and appreciate you, and who encourage you to improve in healthy and exciting ways. They are the ones who make you feel more alive, and not only embrace who you are now, but also embrace and embody who you want to be, unconditionally.

     

    1. Start facing your problems head on. – It isn’t your problems that define you, but how you react to them and recover from them. Problems will not disappear unless you take action. Do what you can, when you can, and acknowledge what you’ve done. It’s all about taking baby steps in the right direction, inch by inch. These inches count, they add up to yards and miles in the long run.

    30 Things to Start Doing for Yourself

    1. Start being honest with yourself about everything. – Be honest about what’s right, as well as what needs to be changed. Be honest about what you want to achieve and who you want to become. Be honest with every aspect of your life, always. Because you are the one person you can forever count on. Search your soul, for the truth, so that you truly know who you are. Once you do, you’ll have a better understanding of where you are now and how you got here, and you’ll be better equipped to identify where you want to go and how to get there. Read The Road Less Traveled. 

     

    1. Start making your own happiness a priority. – Your needs matter. If you don’t value yourself, look out for yourself, and stick up for yourself, you’re sabotaging yourself. Remember, it IS possible to take care of your own needs while simultaneously caring for those around you. And once your needs are met, you will likely be far more capable of helping those who need you most.

     

    1. Start being yourself, genuinely and proudly. – Trying to be anyone else is a waste of the person you are. Be yourself. Embrace that individual  inside you that has ideas, strengths and beauty like no one else. Be the person you know yourself to be – the best version of you – on your terms. Above all, be true to YOU, and if you cannot put your heart in it, take yourself out of it.

     

    1. Start noticing and living in the present. – Right now is a miracle. Right now is the only moment guaranteed to you. Right now is life. So stop thinking about how great things will be in the future. Stop dwelling on what did or didn’t happen in the past. Learn to be in the ‘here and now’ and experience life as it’s happening. Appreciate the world for the beauty that it holds, right now.

     

    1. Start valuing the lessons your mistakes teach you. – Mistakes are okay; they’re the stepping stones of progress. If you’re not failing from time to time, you’re not trying hard enough and you’re not learning. Take risks, stumble, fall, and then get up and try again. Appreciate that you are pushing yourself, learning, growing and improving. Significant achievements are almost invariably realized at the end of a long road of failures. One of the ‘mistakes’ you fear might just be the link to your greatest achievement yet.

     

    1. Start being more polite to yourself. – If you had a friend who spoke to you in the same way that you sometimes speak to yourself, how long would you allow that person to be your friend? The way you treat yourself sets the standard for others. You must love who you are or no one else will.

     

    1. Start enjoying the things you already have. – The problem with many of us is that we think we’ll be happy when we reach a certain level in life – a level we see others operating at – your boss with her corner office, that friend of a friend who owns a mansion on the beach, etc. Unfortunately, it takes awhile before you get there, and when you get there you’ll likely have a new destination in mind. You’ll end up spending your whole life working toward something new without ever stopping to enjoy the things you have now. So take a quiet moment every morning when you first awake to appreciate where you are and what you already have.

     

    1. Start creating your own happiness. – If you are waiting for someone else to make you happy, you’re missing out. Smile because you can. Choose happiness. Be the change you want to see in the world. Be happy with who you are now, and let your positivity inspire your journey into tomorrow. Happiness is often found when and where you decide to seek it. If you look for happiness within the opportunities you have, you will eventually find it. But if you constantly look for something else, unfortunately, you’ll find that too. Read Stumbling on Happiness.

     

    1. Start giving your ideas and dreams a chance. – In life, it’s rarely about getting a chance; it’s about taking a chance. You’ll never be 100% sure it will work, but you can always be 100% sure doing nothing won’t work. Most of the time you just have to go for it! And no matter how it turns out, it always ends up just the way it should be. Either you succeed or you learn something. Win-Win.

    Brian Oldham

    1. Start believing that you’re ready for the next step. – You are ready! Think about it. You have everything you need right now to take the next small, realistic step forward. So embrace the opportunities that come your way, and accept the challenges – they’re gifts that will help you to grow.

     

    1. Start entering new relationships for the right reasons. – Enter new relationships with dependable, honest people who reflect the person you are and the person you want to be. Choose friends you are proud to know, people you admire, who show you love and respect – people who reciprocate your kindness and commitment. And pay attention to what people do, because a person’s actions are much more important than their words or how others represent them.

    Gregory J Smith

    1. Start giving new people you meet a chance. – It sounds harsh, but you cannot keep every friend you’ve ever made. People and priorities change. As some relationships fade others will grow. Appreciate the possibility of new relationships as you naturally let go of old ones that no longer work. Trust your judgment. Embrace new relationships, knowing that you are entering into unfamiliar territory. Be ready to learn, be ready for a challenge, and be ready to meet someone that might just change your life forever.

     

    1. Start competing against an earlier version of yourself. – Be inspired by others, appreciate others, learn from others, but know that competing against them is a waste of time. You are in competition with one person and one person only – yourself. You are competing to be the best you can be. Aim to break your own personal records.

     

    1. Start cheering for other people’s victories. – Start noticing what you like about others and tell them. Having an appreciation for how amazing the people around you are leads to good places – productive, fulfilling, peaceful places. So be happy for those who are making progress. Cheer for their victories. Be thankful for their blessings, openly. What goes around comes around, and sooner or later the people you’re cheering for will start cheering for you.

     

    1. Start looking for the silver lining in tough situations. – When things are hard, and you feel down, take a few deep breaths and look for the silver lining – the small glimmers of hope. Remind yourself that you can and will grow stronger from these hard times. And remain conscious of your blessings and victories – all the things in your life that are right. Focus on what you have, not on what you haven’t.

     

    1. Start forgiving yourself and others. – We’ve all been hurt by our own decisions and by others. And while the pain of these experiences is normal, sometimes it lingers for too long. We relive the pain over and over and have a hard time letting go. Forgiveness is the remedy. It doesn’t mean you’re erasing the past, or forgetting what happened. It means you’re letting go of the resentment and pain, and instead choosing to learn from the incident and move on with your life.

     

    1. Start helping those around you. – Care about people. Guide them if you know a better way. The more you help others, the more they will want to help you. Love and kindness begets love and kindness. And so on and so forth.

     

    1. Start listening to your own inner voice. – If it helps, discuss your ideas with those closest to you, but give yourself enough room to follow your own intuition. Be true to yourself. Say what you need to say. Do what you know in your heart is right.

     

    1. Start being attentive to your stress level and take short breaks. – Slow down. Breathe. Give yourself permission to pause, regroup and move forward with clarity and purpose. When you’re at your busiest, a brief recess can rejuvenate your mind and increase your productivity. These short breaks will help you regain your sanity and reflect on your recent actions so you can be sure they’re in line with your goals.

     

    1. Start noticing the beauty of small moments. – Instead of waiting for the big things to happen – marriage, kids, big promotion, winning the lottery – find happiness in the small things that happen every day. Little things like having a quiet cup of coffee in the early morning, or the delicious taste and smell of a homemade meal, or the pleasure of sharing something you enjoy with someone else, or holding hands with your partner. Noticing these small pleasures on a daily basis makes a big difference in the quality of your life.

     

    1. Start accepting things when they are less than perfect. – Remember, ‘perfect’ is the enemy of ‘good.’ One of the biggest challenges for people who want to improve themselves and improve the world is learning to accept things as they are. Sometimes it’s better to accept and appreciate the world as it is, and people as they are, rather than to trying to make everything and everyone conform to an impossible ideal. No, you shouldn’t accept a life of mediocrity, but learn to love and value things when they are less than perfect.

     

    1. Start working toward your goals every single day.   

     

    1. – Remember, the journey of a thousand miles begins w 
    2. ith one step. Whatever it is you dream about, start taking small, logical steps every day to make it happen. Get out there and DO something! The harder you work the luckier you will become. While many of us decide at some point during the course of our lives that we want to answer our calling, only an astute few of us actually work on it. By ‘working on it,’ I mean consistently devoting oneself to the end result. Read The 7 Habits of Highly Effective People.

     

    1. Start being more open about how you feel. – If you’re hurting, give yourself the necessary space and time to hurt, but be open about it. Talk to those closest to you. Tell them the truth about how you feel. Let them listen. The simple act of getting things off your chest and into the open is your first step toward feeling good again.

     

    1. Start taking full accountability for your own life. – Own your choices and mistakes, and be willing to take the necessary steps to improve upon them. Either you take accountability for your life or someone else will. And when they do, you’ll become a slave to their ideas and dreams instead of a pioneer of your own. You are the only one who can directly control the outcome of your life. And no, it won’t always be easy. Every person has a stack of obstacles in front of them. But you must take accountability for your situation and overcome these obstacles. Choosing not to is choosing a lifetime of mere existence.

     

    1. Start actively nurturing your most important relationships. – Bring real, honest joy into your life and the lives of those you love by simply telling them how much they mean to you on a regular basis. You can’t be everything to everyone, but you can be everything to a few people. Decide who these people are in your life and treat them like royalty. Remember, you don’t need a certain number of friends, just a number of friends you can be certain of.
    2. Start concentrating on the things you can control. – You can’t chang

     

    1. everything, but you can always change something. Wasting your time, talent and emotional energy on things that are beyond your control is a recipe for frustration, misery and stagnation. Invest your energy in the things you can control, and act on them now.

     

    1. Start focusing on the possibility of positive outcomes. – The mind must believe it CAN do something before it is capable of actually doing it. The way to overcome negative thoughts and destructive emotions is to develop opposing, positive emotions that are stronger and more powerful. Listen to your self-talk and replace negative thoughts with positive ones. Regardless of how a situation seems, focus on what you DO WANT to happen, and then take the next positive step forward. No, you can’t control everything that happens to you, but you can control how you react to things. Everyone’s life has positive and negative aspects – whether or not you’re happy and successful in the long run depends greatly on which aspects you focus on. Read The How of Happiness.

     

    1. Start noticing how wealthy you are right now. – Henry David Thoreau once said, “Wealth is the ability to fully experience life.” Even when times are tough, it’s always important to keep things in perspective. You didn’t go to sleep hungry last night. You didn’t go to sleep outside. You had a choice of what clothes to wear this morning. You hardly broke a sweat today. You didn’t spend a minute in fear. You have access to clean drinking water. You have access to medical care. You have access to the Internet. You can read. Some might say you are incredibly wealthy, so remember to be grateful for all the things you do have.

     

    http://www.marcandangel.com/2011/12/18/30-things-to-start-doing-for-yourself/

     

     

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