• FACEBOOK le monde entier devant votre ECRAN... VOUS, votre SOLITUDE face au mensonge...

      

     

     

    Solitudes des jeunes (PURESTOCK/SIPA)

     

      

      

      

    Le sentiment de solitude lui peut effectivement  mener... à la folie...

    Folie passagère ou non, cette échappée souvent mène au désespoir..

     

    Se sentir seul, c'est avoir besoin de communiquer comme je peux en avoir le besoin... alors oui...

    je pourrais devenir fou que de ne pouvoir converser...

     

      

    En revanche pour un esprit solitaire, la solitude peut être un moyen de devenir plus sociable quand il est en contact avec les autres... et malgré, tout a un besoin de communiquer avec les autres.... changer de personnalité, se rêver en héros ?

     

    Beaucoup de solitaires choisissent des réseaux sociaux...

    comme FACEBOOK, Twitter...

     

    ils ont l'impression de continuer ou de revivre une vie sociale  - souvent - perdue - bien souvent , falsfifiée - démesurée...sur un réseau..s'en invente....

     

    le mythe du BONHEUR.. ? pas toujours, mais souvent perdu, parfois inconnu.

      

    Ils se fabriquent un personnage, ou plusieurs, personnages multi facettes... se décrivent comme  des HEROS, des ECRIVAINES, des JOURNALISTES...

    les tous premiers colpoteurs d'informations...sur le PC....dès le matin de bonne heure.. à la fraiche... jusqu'au soir......s'ennuient, comblent leur ennui, leur solitude... névrose quand tu me tiens !!

     

    Informations qui souvent sont rabachées par les media, tout au long de la journée, de la semaine, voire  pendant des mois... mais QUE NENI...

     

    Se prennent pour des HOMMES d'AFFAIRES...des AUTODIDACTES..des ayant réussi et se sont enrichis...certaines se prennent pour des INFIRMIERES...héroïne au voile blanc...

    des COMEDIENNES, des FEMMES de HEROS....se prennent pour des BOURGEOISES NANTIES... devant leur toile cirée.... et leur SERIE préférée...ou les émissions TELE VENTE....SCHIZOPHRENIE ?

    sans doute pour certains... rêves fantasmés pour beaucoup d'autres...

    La SOLITUDE, d'où le rêve éveillé, les fantasmes...

     

      

     

     

    .. D' autres.. se prennent pour des GRANDS MANITOUS de la FINANCE...( souvent "Veufs, ou divorcés"........ )  qui plus est, des chefs d'entreprises florissantes, mais qui en réalité ne sont que des petits employés ..des petits retraités... soumis tout le long de leur vie...à leur travail.. à leurs horaires fixes, à un chef haï... 

     

    avec petite femme  " discrète, au foyer " et enfants...souvent encore en vie,.....   ou petite femme qui a quitté le foyer conjugal .. ou la vie... ses enfants ne le voient plus... habitent trop loin... bonne excuse...enfin une solitude un peu voulue...

     

    D'autres ont eu des revers de fortune.. ont tout craqué lors du décès de leur épouse...banqueroute qui s'était amorçée bien avant, panier perçé... pas du

    tout le sens des affaires...  mais premier au bar...se sont consolé dans tous les bars...les bars de luxe, les miteux, les bars à putes...jusqu'à l'ivresse oubli...son seul ami, l'alcool.

     

    Vous êtes ECRIVAIN ? oh pardon écrivainE...AUTEU- RE.....ah bon ?

    mais quant écrivez-vous ?

    vous êtes tout le temps collé devant votre écran de PC !! vous PUBLIEZ ?

     

    Ah oui ? dans quelle maison d'EDITION ?

    ah oui.. des contes pour enfants

    .. ah je vois...!! pour la crèche Municipale ?

     

     



    Certaines personnes ont besoin de se retrouver plus souvent avec elles mêmes qu'avec les autres, et pour d'autres c'est en étant avec les autres qu'elles se sentent vivre et donc devenir elles mêmes...


    Il n'y a pas de bonne ou mauvaise école sur ce genre de critères...

    Il y a aussi les pervers... là on les repère très vite..

    Discours contradictoire... passionnel dès le départ...passion enjouée,

     

    vous flatte, ne peut se passer de vous... vous êtes exceptionnelle..

    ne peut " vraiment plus se passer de vous, ira même vous demander en mariage

    - au bout de quelques jours - et là ATTENTION..... et là,

    l'arnaque commence, la sirène est ferrée...

     

     

    Facebook permet d'avoir une identité VIRTUELLE ce n'est pas un site IDENTITAIRE... tellement plus facile .. la Liberté ...

      

    déjà là...

      

    Rencontres parfois, avec des PERVERS NARCISSIQUES, MYTHOMANES,

    NEVROSES, ALCOOLIQUES...imbéciles pas-heureux...agressifs...propos vulgaires, jusqu'à salaces....

     

    Dona

     

    (pervers narcissiques cf - articles page )

     

     

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    La SOLITUDE touche près de 5 millions de personnes, rien qu'en FRANCE

      

    Il faut bien distinguer le sentiment de solitude (la solitude "perçue") de l’isolement social réel, car les deux ne vont pas toujours de pair : les personnes qui se sentent les plus seules ne sont pas nécessairement les plus isolées socialement, et vice versa.

     

    Un sentiment subjectif, relatif et culturellement déterminé

     

    Le sentiment de solitude est hautement subjectif. Les jeunes ont souvent une vie affective et relationnelle riche, mais ils restent très sensibles à la solitude.

     

    Surtout, le sentiment de solitude est relatif, à la manière du sentiment de pauvreté. On se sent d’autant plus pauvre que l’on côtoie des gens riches, ou que la société qui nous entoure nous fait penser que l’on pourrait devenir riche.

     

    À Las Vegas, par exemple, tout le monde peut se sentir relativement pauvre face aux potentialités d’enrichissement que les casinos font miroiter.

     

    Le sentiment de solitude est aussi culturellement déterminé. Aujourd’hui, les jeunes cherchent à avoir toujours plus d’amis et pensent que leur valeur individuelle dépend de leur capital social, voire de leur notoriété (sur le modèle de l’audimat). Du coup, ils ont tendance à dévaluer systématiquement leur propre vie sociale en la comparant à des idéaux très élevés de grande sociabilité, voire de célébrité.

     

    Les multimédias ne sont pas la cause de l’isolement social

     

    Internet, facteur d'isolement ? Une idée reçue. Je pense que les multimédias ne font qu’accompagner ou accentuer des phénomènes inhérents à la vie sociale : les gens sociables dans la vie "réelle" le seront également sur internet, et inversement.

     

    Il faut relativiser l’impact de Facebook et l’idée que les jeunes vivraient dans l’"illusion" d’avoir des dizaines et des dizaines d’amis, sous prétexte qu’ils les comptent dans leurs listes de contacts.

     

    On aurait pu dire la même chose, il y a vingt ans, de la liste de dizaines de personnes que chacun comptait dans son répertoire de numéros de téléphones et d’adresses, qui ne rassemblait pas que des amis proches.

     

    Les nouveaux moyens de communication peuvent néanmoins être trompeurs.

     

    Ils font penser à chacun qu'il est possible d'avoir accès à tout, tout le monde, partout et tout le temps. Mais, paradoxalement, ils peuvent aussi accentuer le sentiment d'isolement, surtout chez les personnes défavorisées ou mal socialisées qui ne possèdent pas toujours les codes et les modalités d'usage de ces outils.

     

    Avoir la possibilité d’envoyer un message à Barack Obama comme à n’importe qui en France ne résout pas les problèmes de socialisation, ni d'expression écrite ou orale. Au contraire, cela rend ce décalage et ces manques encore plus criants et culpabilisants.

     

    Pourquoi les femmes sont-elles plus touchées ?

     

    Cette étude montre que les femmes, les habitants des grandes villes et les inactifs sont plus touchés par la solitude. Ces données ne sont pas nouvelles.

     

    Le cas des femmes relève pour partie d’une variable culturelle :

    malgré leur émancipation, elles se sentent toujours moins capables et moins autorisées à initier des relations. Elles se sentent donc plus exposées à la solitude.

     

    Les habitants des grandes villes, quant à eux, constatent les innombrables possibilités de socialisation que leur offre la vie urbaine (associations, salles de sport, bars…), et peuvent éprouver le sentiment d’avoir une vie sociale relativement pauvre en comparaison à ce qu’elle pourrait ou "devrait" être.

     

    Le monde rural garde au contraire quelques mécanismes de socialisation traditionnels (par exemple la solidarité de proximité), qui peuvent dans certains cas mieux préserver les individus du sentiment de solitude.

     

    Être riche et en couple, ça rassure mais...

     

    Parmi les solutions avancées, l’étude précise que la première chose qui pourrait éradiquer cette solitude, c’est de "trouver l’âme sœur".

      

    Les jeunes voient les choses à l’envers en espérant davantage du couple (pour 32% d’entre eux) que des amis (13%) du travail (11%) ou de la famille (6%).

     

    Je trouve ce résultat assez significatif d’un piège dans lequel de nombreux jeunes sont pris. Ils considèrent le couple comme le lien d’appartenance le plus légitime, le plus important, alors même qu’il n’a jamais été aussi fragile et éphémère qu’aujourd’hui.

     

    La question de la rencontre amoureuse renvoie par ailleurs chacun à ses capacités relationnelles et à sa valeur individuelle : est-ce que je sais séduire ? Suis-je capable de plaire ? Les échecs amoureux et le célibat peuvent alors être très culpabilisants ; l’individu peut se dire qu’il est responsable de sa propre solitude. Cette importance accordée au couple met par ailleurs une grande pression sur celui-ci.

     

    Les jeunes croient aussi que l’argent est une solution pour se sentir moins seul (23% d’entre eux). Ce qu’on appelle "argent" prenait la forme de "travail" il y a quelques années.

      

    Aujourd’hui, "travail" rime avec "insécurité" et "chômage". L’argent est vu comme un passe-partout pour rentrer dans des groupes de sociabilité. Les jeunes se disent que plus ils en ont, et plus il sera facile pour eux de se faire des amis. Or, l’argent ne procure pas le sentiment d’appartenance à un groupe.

     

    Avec les dernières générations et pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, les jeunes qui rentrent dans la société n’ont aucune garantie d’y trouver une place. Tout dépend de leurs capacités, de leur soutien familial, de leur capital social…

     

    Les jeunes souffrent beaucoup de la menace de l’exclusion, de la solitude "potentielle". Tout devient menace ; les jeunes ont peur d’être exclus, que ce soit par le chômage, les ruptures amoureuses, le divorce, les déplacements géographiques. Aucun lien n’est aujourd’hui garanti à vie.

     

    Quand les jeunes se replient chez papa et maman

     

    Dans le monde d’aujourd’hui, la famille devient un rouage social déterminant. Même si cela n’apparaît pas dans cette enquête, d’autres études récentes ont montrés que les jeunes d’aujourd’hui accordaient une importance de plus en plus grande aux liens qu’ils ont avec leurs parents, et ce de plus en plus longtemps (jusque 25, 30, 35 ans).

     

    Les parents représentent une base de sécurité, un camp de repli, en cas de difficulté dans la vie sociale (rupture amoureuse, échec professionnel, période de chômage…). Si la société d’aujourd’hui demande à chacun une grande "confiance en lui" pour faire son chemin dans la société, la famille devient un agent déterminent de cette sécurité affective, que ce soit par l’éducation dans l’enfance et l’adolescence, ou par la disponibilité et le soutien qu’elle apporte au jeune dans les débuts de sa vie d’adulte.

     

    L'école doit aussi se remettre en cause

     

    Au niveau des études secondaires et supérieures, les établissements pourraient encourager davantage le sentiment d’appartenance et la sécurité psychologique qu’il procure (comme le font les lycées et les universités nord-américains). Les établissements français favorisent au contraire l’individualisme (culture de l’élitisme, de la méritocratie).

     

    La réussite et donc la légitimité et l’appartenance dépendent des capacités individuelles, selon un modèle assez binaire : soit l’individu réussit, soit il vit sous le sceau l’échec et de la honte qu’il en résulte.

     

    Propos recueillis par Louise Auvitu

      

      

      

    « Harcèlement moral au sein du couple : où commence la violence psychologique ?ALCOOLISME »
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