•  

    Le JARGON PSYCHOPATHE de la PSYCHANALYSE

     

    Apprendr à tuer avec la psychanalyse 

     

     


    Notre monde est schizophrène... beaucoup plus que les individus qui le composent (même si bien sûr, on ne peut complètement distinguer les deux).

    L'obsession des apparences a conduit progressivement à un dédain pour la vérité, qui bien souvent est invisible, et le reste. Mais la vérité n'est pas changée par son déni - le déni est un concept psychanalytique...

    Sur amazon.fr, un commentateur a eu cette réflexion très pertinente : 

    "Si Freud avait été Dexter la guérison par psychanalyse aurait exigé sans aucun doute de nous que nous nous transformions en tueur en série."

    Il suffit d'enlever le "si", et nous avons là toute la vérité sur la psychanalyse.
    Rien de moins.

    Freud était Dexter ; la guérison par la psychanalyse exige de nous que nous nous transformions en tueur en série.

    Tous ceux qui passent sur le divan ne deviennent pas Hannibal le Cannibale ?

    C'est vrai... mais c'est malgré leur passage sur le divan.
    De même, tous ceux qui prennent anglais en première langue vivante à l'école, n'en sortent pas bilingues...

    Pourquoi personne ne s'en rend compte ?

    (Enfin j'exagère : de plus en plus de monde s'en rend compte.)

    Pourquoi ne comprend-on pas que lorsqu'un psychanalyste dit : "Il faut tuer le père" il dit exactement ce qu'il dit : "Il faut tuer le père" ?

    Pourquoi voit-on des symboles et des allégories là où il n'y en a pas ?

    Sur le forum psychanalyse de Doctissimo, un internaute qui fait une psychanalyse et qui lit Freud (circonstance aggravante) montre bien, par ses propos, qu'il est en train de se changer petit à petit, progressivement, en tueur. Il n'est pas encore passé à l'action, mais s'il continue dans sa route psychanalytique, il finira probablement par massacrer quelqu'un. Je vous donne des extraits de ses posts, c'est édifiant :

    "La colère est une forme de désir de liberté, je pourrais tuer pour être libre même si au fond je ne veux pas l'être, je sais que la liberté est la solution."

    "je suis nomade, je me fous de tout ça, même des autres qui ne sont que des objets dont je me sers comme une sangsue."

    "j'ai des doigts de couteaux, des mains d'aciers qui pourraient tuer parfois, mais c'est moi qu'elles tuent. J'ai écrit un livre mais pas réussi à le publier du tout... tant pis. Parfois je me dis que être est suffisant et des fois je voudrais crier le bruit de ma vie sur une place, faire la révolution, devenir ultra, lancer une guerre civile, la force de l'âme est énorme, je crains que l'analyse ne révèle une puissance incendiaire mais créatrice aussi d'une puissance infinie. Un monstre sans dépendance."

    "je veux juste dormir, haïr les autres, et regarder la télé. je ne suis pas un héros, j'ai écrit mais personne n'a voulu l'éditer, dommage c'est bien écrit... je l'emporterai au diable, il en voudra, lui. je suis né pour pourrir ce monde, pour cracher dessus, l'enfer c'est moi."

    "Je crois parfois que je deviendrais bien un assassin afin de tuer ce qui m'empêche de vivre ! ça fait Amélie Nothomb ? qui sait si ça finira pas comme ça.
    Merci du soutien, mais j'ai perdu trop de temps, il est temps d'avancer, de tuer les adversaires, il est temps pour superman de rouler, mais le temps a abimé ma cape alors ça ne vaut plus le coup mais surtout je n'en ai pas la force de tuer les démons. En fait il n'y a pas de chemin. Je voudrais juste que vous ne suiviez pas le mien, il est mauvais ce chemin."

    "Si je grandis, comme je suis responsable de mon père, aux dires du psy ça me ferait le tuer ! Les morts sont des objets et ma relation avec les gens est souvent une relation exclusive d'objet: un objet est un désir unilatéral, l'objet est désiré , et ne peut choisir, c'est en fait un désir pervers en un sens. Je ne veux pas de relations bilatérales, ou j'ai à rendre en quelque sorte, de l'amour par exemple, pourtant j'ai envie d'aimer"

    "On tue quand on choisit, on tue les autres qu'on ne choisit pas. Assumer est dur, je crois que je me complais dans du Nothomb, mais pas dans la réalité, car il faut sans cesse tuer les autres, ou soi."

    "Même quand je fais des photos chose que j'aime beaucoup, je vire le peuple de mon cadre comme pour détruire l'individu, et puis je n'aime pas les portraits je les fais pour souvenir sans rien ressentir..."

    Dans d'autres posts, il parle de Freud - Freud, plus Amélie Nothomb, plus une psychanalyse : mélange détonnant... Il vaudra mieux ne pas être dans les parages quand il explosera.

    Même s'il a l'air d'un cas à part, les propos de cet internaute sont d'une certaine manière exemplaires - exemplaires des effets de Freud sur ceux qui le prennent pour gourou. Comment un tueur en série pourrait-il former autre chose que des tueurs en série ?...

    Mais le plus bizarre (et en même temps, complètement logique) c'est que les autres internautes du forum psychanalyse ne réagissent pas à ces propos si révélateurs, si significatifs. Ils sont habitués au jargon de la psychanalyse, ce condensé de vocabulaire psychopathe.
     
     
     
     
     
     

    Apprendre à tuer avec la psychanalyse  : le jargon psychopathe

     
    Le jargon de la psychanalyse est un jargon de psychopathe.

    Faire son deuil est une expression psychanalytique qu'on utilise sans en comprendre véritablement le sens.
    Faire son deuil a été formé à partir de l'expression être en deuilÊtre en deuil a un sens clair : l'expression signifie "avoir perdu un membre de sa famille" (et donc, être triste suite à cette perte). La psychanalyse remplace "être" par "faire", un verbe d'action. Au sens littéral, faire son deuil signifie donc "agir de façon à, se débrouiller pour se retrouver en deuil". Ce qui, si on le traduit dans un langage explicite, signifie : "tuer un membre de sa famille"... en toute simplicité. 

    Objet est un mot innocent... quand on l'applique à un objet.
    Mais dans le jargon de la psychanalyse, objet s'applique presque toujours à une personne : le recours à ce mot réifie des êtres humains. Les tueurs en série considèrent les gens en général, et leurs victimes en particulier, comme des objets : la psychanalyse fait de même.

    Complexe d'œdipe signifie : "envie naturelle et normale de tuer son père et de coucher avec sa mère". Mais alors, en quoi est-ce un problème, un complexe ?... Le problème n'est pas d'avoir envie de tuer son père et de coucher avec sa mère, mais de ne pas avoir conscience qu'on en a envie.
     
    Point de vue de psychopathe, pour qui l'inceste et le parricide sont normaux - et leur absence, problématique...

    Il faudrait aussi analyser le terme déni.
     
     
    Partager via Gmail Delicious Yahoo!

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique