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    Voici un excellent texte de Jean-Luc Tari

    paru initialement

    dans Point de vue

    (Nouvelles de France)

     

     

    les-bobos-collabos

     

      

      

    Les bourgeois bohèmes disposent d’un bagage culturel.

      

    Ils sont souvent enseignants, artistes, journalistes, écrivains,

    publicitaires ou cadres.

      

    Les idées contestataires des années 60 et 70 constituent leur logiciel.

      

    La contre-culture de cette époque est devenue la culture dominante des élites politiquement correctes, à l’exception de la fascination pour les sociétés socialistes.

    En effet, l’effondrement du communisme a entrainé un rejet des systèmes collectivistes.

      

    L’idéologie bobo est un idéalisme individualiste.

     

    L’idéalisme se manifeste par la quête d’une nouvelle utopie : la société multiculturelle est devenue la nouvelle société paradisiaque à construire.

      

    Il en découle un préjugé favorable envers l’immigration de peuplement.

      

    Les immigrés sont investis de la mission de créer une société régénérée ;

      

    la société mono-culturelle étant considérée comme moisie et rance.

      

    L’immigré est paré de toutes les vertus et l’autochtone qui récuse ce préjugé est accusé de xénophobie.

     

    Le slogan « Peace and love » induit un rejet du nationalisme

    accusé de provoquer la guerre.

     

     

    Les nations doivent donc disparaître.

      

    La construction de l’Union européenne permet d’atteindre cet objectif.

      

    Les États sont progressivement vidés de leur substance par des transferts de souveraineté vers la commission de Bruxelles et par des transferts de compétences vers les régions.

      

    La configuration idéale à atteindre est une commission européenne toute puissante pilotant une myriade de régions.

     

    Le slogan « Nous sommes tous des juifs allemands » induit une négation des différences de religion et de nationalité.

      

    Une communauté fraternelle universelle doit se constituée.

      

    L’indifférenciation devient la norme : les différences de nationalités, de religions, de races et de sexes sont niées.

    Tous les individus sont présumés identiques afin que l’utopie puisse se réaliser. Toutes les cultures se valent.

      

    Ainsi on enseigne de moins en moins l’histoire de France dans les écoles, et de plus en plus l’histoire de l’islam ou de tribus primitives africaines afin de rendre leur fierté aux jeunes concernés.

      

    Par contre, les Français de souche sont stigmatisés pour leur passé colonial et esclavagiste.

     

    Le slogan « Sous les pavés, la plage » exprime la nécessité de détruire l’ordre établi pour laisser libre cours aux désirs individuels.

      

    Les revendications déconstruisant la société traditionnelle sont soutenues : mariage homosexuel, laxisme judiciaire, théorie du genre, défense des immigrés et marchandisation du corps humain.

    La déconstruction de la société est une constante depuis 4 décennies. Les jeunes ont « la chance » de vivre dans une société sans autorité, sans repère et sans frontière.

     

    Le projet consiste à détruire la France éternelle pour la fondre dans un magma multiculturel :

      

    « Soyez réalistes, demandez l’impossible ! ».

      

    Les bobos sont hors sol ; ils rejettent tout enracinement dans une patrie.

      

    Au nom du pacifisme, les États-nations sont invités à se désintégrer et les peuples à se métisser.

     

    Mais le pacifisme conduit à la collaboration.

      

    Les « citoyens du monde » sont des traitres à leur patrie.

      

    L’exemple de Pierre Laval est édifiant : pacifiste lors de la première guerre mondiale, député SFIO, ministre socialiste dans le gouvernement du Cartel des gauches et enfin numéro 2 du régime de Vichy.

     

    Les dirigeants actuels sont des soixante-huitards déguisés en énarques et en politiciens. Leur idéologie les incite à ramper devant les étrangers : les Américains pour la politique étrangère, les Allemands et la commission de Bruxelles pour la politique budgétaire et les émirs du Golfe persique pour capter des investissements.

      

    Ainsi la France est de plus en plus réduite à une préfecture aux ordres de l’étranger. Les bobos sont des collabos au service du cosmopolitisme.

      

    Face à ces collabos, de plus en plus de résistants se manifestent pour refuser ce projet mortifère.

      

    Dans les années à venir, le débat se cristallisera entre les collabos apatrides et les résistants patriotes.

     

     

    Jean-Luc Tari pour Point de vue

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Qui consulter ?


    Un psychologue ?
    Un psychiatre ?
    Un psychanalyste ?
    Un psychothérapeute ?
    Un psychomachinchouette ?

    Où Madame IRMA ?

     

     

     

    Il est parfois difficile pour les individus de s’y retrouver face à une multitude d’appellations psy en tous genres.

     

    J’ai décidé d’écrire ce texte suite aux nombreuses questions de mes patients, dont je me rends compte lors du premier entretient qu’ils ignorent tout ou presque des nuances entre les différents psy, et tombent des nues lorsqu’ils apprennent que psychothérapeute n’est pas un titre protégé.

     

    En France, on voit de plus en plus de psychosomaticiens, psychosomatotherapeute, psychosomatoanalyste, psychosociologue, psychopolitologue, psychorelaxologue, etc….

     

    Tout cela induit un flou chez le public qui croit aller consulter un psychologue spécialisé dans telle ou telle branche.

      

    Or, si cela est parfois le cas,

     

    dans l’immense majorité, il s’agit de psychothérapeutes qui ne peuvent prétendre au titre de psychologue ni de psychiatre.

     

     

    A ce jour, en France, il n’y à que 2 titres qui vous garantissent une formation solide et sérieuse :

      

      

    Psychologue et Psychiatre.

      

     

     

    Demandez a votre interlocuteur s'il est psychologue ou psychiatre. S'il vous répond oui et que vous doutez, demandez lui son numéro ADELI (c'est le numéro donné par la DDASS), ou contactez la DDASS (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales) de votre département pour savoir si cette personne est bien enregistrée, et peut donc prétendre au titre.

     

    N’importe qui peut malheureusement s’installer psychothérapeute, psychanalyste ou " psychomachinchouette " sans aucun besoin de justifier de quoi que ce soit, et avec tous les risques que cela comporte.

     

    Il convient donc de vérifier que la personne que vous consultez est avant tout psychologue ou psychiatre.

      

    Iriez vous confier votre voiture à une personne qui n’est pas garagiste, ou iriez vous vous faire coiffer chez votre fleuriste ou soigner les dents chez un plombier ? ? ?

     

    La santé mentale est un bien précieux, il convient d’y prendre garde et de n’aller consulter que des personnes qualifiées.

     

    De nombreux psychologues et psychiatres sont également " psychothérapeute"  et / ou "psychanalyste" ( vaste domaine )

      

    Mais il convient de s’assurer que la personne que vous désirez consulter est bien également ou psychiatre ou psychologue

    (cela peut être demandé par téléphone avant de prendre rendez-vous.

    Devant une réponse négative, évasive ou embrouillée…

    conseil.....passez au suivant  ).

     

    Le psychologue :

     

    Il existe différents " psychologues " 

      

    Celui que vous consultez pour des " problèmes " psychologiques est un psychologue clinicien.

    C’est un psychologue qui a fait un DESS ou un DEA assorti d’un stage (diplôme de 3eme cycle) en psychologie clinique (et généralement pathologique). Ethymologiquement clinique signifie au chevet du malade, au lit du malade.

     

    Le psychologue clinicien peut vous proposer des entretiens à visée thérapique (psychothérapie de soutient, psychothérapie d’inspiration psychanalytique, psychothérapie cognitivo-comportementaliste), des tests divers (de personnalité, d’intelligence ou de développement, neuropsychologiques, etc..)

     

    Le psychologue propose également parfois des séances pour couple, ou pour groupe (supervision, groupe de parole, groupe balint, etc…)

     

    Le psychiatre :

    C’est un médecin qui a étudié la médecine et s’est par la suite spécialisé dans les troubles psychiatriques. Il propose souvent des entretiens thérapiques au même titre que le psychologue.

     

    Il peut également prescrire un traitement lorsque cela s’avère nécessaire (antidépresseur, anxiolytique, psychotropes divers).

     

    Dans un service, le psychiatre est pris dans un rôle hiérarchique et ne peut de facto effectuer des supervisions ou des groupes de parole pour les soignants.

     

    Il peut également proposer ou imposer (dans de très rares cas) une hospitalisation dans un centre spécialisé.

     

    Le psychothérapeute :

    Ce titre non protégé en France à ce jour, signifie que la personne propose des psychothérapies.

    On pourrait imaginer une loi qui interdirait l’usage de la psychothérapie au non psychologue / psychiatre sous couvert d’exercice illégal de la médecine et de la psychologie.

     

    Il convient donc si vous avez le désir d’entreprendre une psychothérapie, de vous diriger vers un psychologue ou un psychiatre, qu’il soit par ailleurs psychothérapeute.

     

    Le psychanalyste :

    C’est une personne qui utilise comme théorie et comme technique la psychanalyse née de Sigmund Freud. La encore il convient d’être vigilant sur la qualité de la personne ( soit psychologue, soit psychiatre, soit membre d’une société psychanalytique reconnue (SPP,SFP,ELP,Cause freudienne, API,etc…)

     

    Le développement personnel est en plein essor et nombreuses sont les chapelles qui vous ouvrent leurs portent en vous garantissant un mieux être et une harmonie retrouvée…

     

    N’oubliez pas également que la Mission Interministérielle de Lutte contre les Sectes met en garde contre les nombreuses dérives sectaire des psychothérapies nouvelles…

     

    En ne consultant qu’un psychologue ou un psychiatre, vous limitez les risques de vous retrouver pris dans des thérapies parfois douteuses et vous vous assurez les services d’une personne réellement formée.

     

     

      http://www.psychologue.fr/therapie.php

     

     

     

     

     

      

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    Les psychologues ne sont jamais médecins.

      

      

      

    Ce sont les psychiatres qui sont médecins.

      

    C'est toute la différence entre un psychologue et un psychiatre.

      

    Les deux professions sont réglementées :


    - Est psychiatre celui qui a complété sa formation de médecine avec spécialité psychiatrie. Le psychiatre est un médecin spécialiste.

     

      En tant que médecin, notamment, il a la possibilité de prescrire des médicaments à ses patients (somnifères, antidépresseurs, anxiolytiques, etc.)

     


    - Est psychologue celui qui a obtenu un Master (ou DESS/DEA) en psychologie.

      Il n'est pas médecin mais titulaire d'un master en sciences humaines.

     

     

    Il ne peut pas prescrire de médicaments.

     

    Il a la possibilité, en revanche, d'accéder à certains outils qui lui sont réservés (interdits aux psychiatres) comme de nombreux tests psychométriques (notamment projectifs).



    - Par ailleurs, est psychanalyste celui qui a effectué une psychanalyse (on parle de psychanalyse initiatique) auprès d'un psychanalyste.

      

    Oui c'est un peu léger comme formation, mais le lobby est puissant et il était hors de question d'y toucher.

     

     


    - Enfin, autrefois, était psychothérapeute qui voulait.

      

    LE PsychoTHÉRAPEUTE : ce n'est pas psychoLOGUE.

      

    Ce n'est pas non-plus psychIATRE. C'est psychoTHÉRAPEUTE.

      

    C'est à dire que jusqu'à maintenant, tu avais le droit de te faire poser une jolie plaque devant chez toi "Duchemoll psychothérapeute" et personne ne pouvait te demander de comptes.



    Ce que dit le JO, c'est que ce temps là est enfin terminé.

      

    Désormais, pour se dire "psychothérapeute" il faudra avoir suivi une formation digne de ce nom.

      

    C'est quand-même la moindre des choses. Je ne sais pas si tu as lu l'article de loi que tu cites :

      
    L'accès à cette formation est réservé aux titulaires d'un diplôme de niveau doctorat donnant le droit d'exercer la médecine en France ou d'un diplôme de niveau master dont la spécialité ou la mention est la psychologie ou la psychanalyse.



    Depuis quand un master en psycho rend médecin ?



    Cette loi ne change rien à la situation des psychiatres, des psychologues, ni des psychanalystes.

      

    Mais exclusivement à celle des psychothérapeutes



    Le gros problème de cette loi, c'est qu'elle a pas eu les couilles de s'attaquer à la charlatanerie de la psychanalyse, avec des gens qui surfent sur la crédulité des clients, leur incapacité à distinguer les "psy" les uns des autres (comme tu viens de le prouver), pour se faire passer pour des guérisseurs compétents alors que leur seule formation consiste à avoir été psychanalysé...

      

    un peu comme si avoir été opéré de l'appendicite donnait droit au titre de chirurgien...

     


    Je me rappelle encore du passage d'Onfray chez Ruquier qui détaillait le caractère charlatanique de la psychanalyse et, quand il disait qu'une psychanalyse coûte la peau des fesses, Ruquier l'interrompait à chaque fois pour dire :

      

    "c'est pas vrai ! on a des psys qui travaillent même gratuitement ! on a vu des psys dans telle ou telle occasion bosser gratuitement ! ya des centres avec des psys blabla" : des psys des psys des psys.

     

      

    Des psy-quoi ?

    Comme si psychanalyste c'était la même chose que psychologue.

      

    Oui il y a des psychologues et des psychiatres qui travaillent gratuitement (ils sont salariés de l'État - mais tu paies ta consultation ! ) dans les centres médico-psychologiques.

      

    Oui quand il y a un traumatisme dans une école on envoie des psychologues qui prennent en charge les enfants sans les faire raquer.

      

    Des psychologues, pas des psychanalystes. Ce n'est PAS la même chose.



    Au final, on met fin à l'arnaque des psychothérapeutes en leur demandant, grosso-merdo, d'être psychiatres ou psychologues, mais les psychanalystes, eux, pourront continuer à exercer sans aucune formation (parce qu'à la rigueur, y a pas de diplôme de "j'ai fait ma psychanalyse" et ça coûte rien de prétendre l'avoir faite), surfant sur la vague "psy" pour se vendre au gogo.

      

    Les charlatans psychothérapeutes vont se renommer charlatans psychanalystes, et arnaqueront le gogo pareil qu'hier, le gogo ne faisant aucune différence, pour lui, un psy est un psy.




    Enfin : il n'existe qu'un seul type de psychologue, c'est le psychologue.

      

    C'est à dire celui qui a un MASTER/DEA/DESS en psychologie.

      

    Les autres sont des psy-quelquechose, mais pas des psychologues.

      

    Cf la classification que j'ai détaillée ci-dessus.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    L'humour, une vraie thérapie

     

    Relativiser, dédramatiser, énoncer des vérités inavouables et exprimer des pulsions inacceptables, mais aussi nous rendre capables de résister à l’injustice et allonger notre espérance de vie…

     

    Les pouvoirs thérapeutiques de nos plaisanteries et autres mots d’esprit sont irremplaçables.

    Isabelle Taubes

    L'humour dope l'amour de soi

    Une plaisanterie qui fait mouche est une véritable création.

    Mieux : c’est un moment de gloire.

      

    Grâce à ces chefs-d’oeuvre miniatures que sont le mot d’esprit ou la bonne blague, nos ego se gonflent de fierté.

      

    D’autant plus qu’ils ont vaincu la censure, transgressé les lois de la logique.

      

    Ce sentiment est encore plus intense quand nous réussissons à plaisanter d’une situation angoissante ou déprimante. Non seulement un sentiment de bien-être nous envahit, mais nous nous sentons soudain plus intelligents.

      

    Avantage supplémentaire :

    celui qui détient le précieux pouvoir d’amuser met la foule des rieurs de son côté. Ce n’est pas pour rien qu’aux États-Unis, les leaders politiques et les chefs d’entreprise commencent régulièrement leurs interventions par une bonne histoire.

     

    L'humour est un anti-dépresseur

    Toutes les catastrophes ou presque entraînent rapidement un déferlement de bonnes histoires. Pendant qu’un nuage de cendres paralysait le ciel européen, blagues et jeux de mots plus ou moins heureux ont immédiatement fait leur apparition. « Alors, ils volcans, les avions ? »

      

    « Décidément, les nuages volcaniques sont plus futés que les nuages atomiques : ils ne s’arrêtent pas aux frontières de la France »… Ce phénomène très humain rappelle le rôle cathartique de l’humour. Un bon mot et nos tensions disparaissent. Les histoires juives constituent le modèle de l’humour antidéprime qui transforme en bonnes blagues ce qui nous abattrait.

      

    Basées sur l’autodérision, elles nous apprennent à rire de nous-mêmes et de la cruauté de la vie, en reprenant toutes les accusations de l’ennemi : les juifs sont sales, voleurs, ne pensent qu’à l’argent, ont tué Jésus.

      

    « Oui, oui, on a tué le Christ, racontait Lenny Bruce, immense humoriste américain des années 1960.

    Et s’il revient, on le tuera encore. »

    Des larmes au rire, il n’y a qu’un pas. « Élie se plaint à Shlomo :

      

    “Mon fils s’est converti au catholicisme, une vraie catastrophe.”

    “Le mien rêve de se convertir, quelle honte !” répond Shlomo, lugubre. “Et le mien, vous savez ce qu’il a fait ?” rétorque Dieu, qui écoutait la conversation. » Morale de l’histoire : si l’Éternel lui-même a des problèmes avec son garçon, normal que j’en aie avec le mien.

     

    L'humour libère nos pulsions

    Selon la thèse développée par Freud dans Le Mot d’esprit et ses rapports avec l’inconscient (1905), l’humour, exactement comme les rêves, libère impunément nos pulsions les plus inavouables, sans que notre gendarme intérieur, le surmoi, s’en off usque. Il permet d’exprimer, sans se salir les mains, ce qui ne peut être dit ou, pire, mis en actes – nos envies de meurtre, nos fantasmes sadomasochistes, notre mépris de l’autre sexe, etc.

     

    « Qu’est ce qui est rouge et qui se tortille ? Un bébé pendu à un crochet de boucher. » Cette petite blague permet aux enfants de fantasmer tranquillement l’assassinat de leur petit frère, de se consoler de ne plus être le (ou la) préféré(e) ; et aux parents d’assassiner symboliquement le nourrisson qui les condamne à l’insomnie depuis sa naissance.

      

    « “Bonjour les filles”, lance un aveugle en passant devant une poissonnerie. »

    Cela revient à dire : les femmes sont des morues.

    Ce genre d’humour est une façon de satisfaire les pulsions sexuelles agressives et misogynes.

    Selon Freud, une blague obscène racontée à une femme a la valeur d’une invitation sexuelle détournée mêlée au désir de l’humilier…

    ( quant à Freud, j'ai un gros doute.....surtout lui ! )

      

    « Pourquoi les pets sentent-ils ?

    Pour que les sourds puissent en profiter ! » Voilà un mot d’esprit qui nous autorise à jouir innocemment de la pulsion anale – pipi-caca- boudin – comme seuls les moins de 10 ans en ont le droit.

    Les histoires drôles ressuscitent le plaisir enfantin, régressif, de jouer avec les sons, les mots, de les triturer en tous sens.

     

     

     

     

     

     

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